La presse internationale constate l'échec des pourparlers sur la Syrie
Les pourparlers sur la Syrie à Genève sont suspendus. Ils pourraient théoriquement reprendre le 25 février. La décision a été prise alors que sur le terrain, le régime de Damas, avec l’appui de son allié russe, a fait une importante percée militaire dans la région d’Alep. Dans ces conditions, l’opposition ne voit pas comment discuter. A Paris et à Washington, on a vivement dénoncé ces bombardements. Et dans la presse internationale, on dresse un constat d’échec qui ne surprend pas grand monde.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- La presse internationale constate l'échec des pourparlers sur la SyrieLes pourparlers sur la Syrie à Genève sont suspendus. Ils pourraient théoriquement reprendre le 25 février. La décision a été prise alors que sur le terrain, le régime de Damas, avec l’appui de son allié russe, a fait une importante percée militaire dans la région d’Alep. Dans ces conditions, l’opposition ne voit pas comment discuter. A Paris et à Washington, on a vivement dénoncé ces bombardements. Et dans la presse internationale, on dresse un constat d’échec qui ne surprend pas grand monde.
- La question des frontières géographiques au cœur du conflit syrienLa géographie, la question des frontières est essentielle pour comprendre les conflits. En quoi la géographie est-elle particulièrement utile pour comprendre le conflit syrien? Interview de Jean-Paul Chagnollaud, directeur de l'Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen Orient (iReMMO).
- Les grandes entreprises publiques russes pourraient être privatiséesLa Russie veut privatiser partiellement ses grandes entreprises publiques comme Aeroflot, les chemins de fer ou encore la compagnie minière Alrosa. Il y en a sept sur la liste présentée par le gouvernement. La raison est simple: renflouer les caisses de l’Etat, qui se vident à cause de la chute des prix du pétrole. On le sait, l’économie russe est très dépendante du pétrole et du gaz. Les hydrocarbures représentaient l’an dernier plus de 40% des recettes budgétaires de l’Etat.
- Boko Haram continue d'ensanglanter le NigeriaLe Nigeria est la base arrière pour le groupe terroriste le plus meurtrier du monde, Boko Haram. Samedi dernier, le groupe a attaqué un village à la mitrailleuse lourde. Les djihadistes visaient le camp de déplacés de Maiduguri, qui abrite 25’000 personnes. Le bilan provisoire est d'au moins 65 morts.