Le nom de la rose, Jean-Jacques Annaud, 1986
"Travelling" s’intéresse au "Nom de la Rose", (The Name of the Rose, Il nome della rosa), un livre, un best-seller mondial d’Umberto Ecco, qui devient un grand succès de cinéma sous la caméra de Jean-Jacques Annaud en 1986. Le film met en scène Sean Connery dans le rôle de Guillaume de Baskerville, enquêteur franciscain, nanti de son assistant, Christian Slater en Adso de Melk.
Etrange affaire qui commence un matin sur un plateau ligure balayé par la neige. Nous sommes en l’an 1327, et dans une abbaye bénédictine du nord de l'Italie, on attend l’arrivée d’une délégation papale venue d’Avignon, qui doit débattre avec les Franciscains sur la volonté de pauvreté de l’Eglise. Pourtant, cette controverse, dont va dépendre l’avenir de l’Eglise et peut-être du monde occidental tout entier, passe au second plan derrière une suite de faits divers atroces. Elémentaire mon cher Adso, Guillaume traque le crime dans l’abbaye.
Le film use 4 scénaristes, coûte des années d’efforts, des dizaines de millions de francs, les recherches historiques sont considérables, il ne faudra pas moins de 16 scénarios pour parvenir au bout du livre et au bout du film. Le résultat est à la hauteur des espérances de Jean-Jacques Annaud qui se vante d’avoir écrit un palimpseste, soit une réécriture du roman. Les controverses alimentent néanmoins la sortie du film, et notre travelling du jour dans lequel nous allons nous faire un plaisir de vous dévoiler les secrets du tournage et de la critique.
Ne tardons plus, Guillaume de Baskerville est arrivé à l’abbaye où un tout jeune moine vient d’être enterré.
Etrange affaire qui commence un matin sur un plateau ligure balayé par la neige. Nous sommes en l’an 1327, et dans une abbaye bénédictine du nord de l'Italie, on attend l’arrivée d’une délégation papale venue d’Avignon, qui doit débattre avec les Franciscains sur la volonté de pauvreté de l’Eglise. Pourtant, cette controverse, dont va dépendre l’avenir de l’Eglise et peut-être du monde occidental tout entier, passe au second plan derrière une suite de faits divers atroces. Elémentaire mon cher Adso, Guillaume traque le crime dans l’abbaye.
Le film use 4 scénaristes, coûte des années d’efforts, des dizaines de millions de francs, les recherches historiques sont considérables, il ne faudra pas moins de 16 scénarios pour parvenir au bout du livre et au bout du film. Le résultat est à la hauteur des espérances de Jean-Jacques Annaud qui se vante d’avoir écrit un palimpseste, soit une réécriture du roman. Les controverses alimentent néanmoins la sortie du film, et notre travelling du jour dans lequel nous allons nous faire un plaisir de vous dévoiler les secrets du tournage et de la critique.
Ne tardons plus, Guillaume de Baskerville est arrivé à l’abbaye où un tout jeune moine vient d’être enterré.