Le plagiat menace les sciences
La situation est inquiétante si l'on en croit certains organisme de lutte contre le plagiat. Selon Michelle Bergadaà, professeure à l’Université de Genève (UNIGE) et créatrice de Responsable, près de la moitié des universitaires suisses auraient recours, au moins une fois durant leurs études, à des ghostwriter ou se feraient aider lors de leurs travaux de rédaction. Des comportements qui n'épargneraient pas le corps enseignant. Le point avec Michelle Bergadaà, professeure à l'UniGe et experte en matière de plagiat, au micro de Stéphane Délétroz.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- 10 mois dans le ciel sans se poser!Le martinet noir bat tous les records de vol non-stop. Dix mois dans les airs sans se poser, c’est ce que viennent d’enregistrer des biologistes suédois grâce à des récepteurs posés sur treize individus. Cet oiseau fait tout en vol, il hiberne, il mange, il dort et il s’accouple… mais il est tout de même obligé d’atterrir pour pondre ses œufs. Les détails sur ce marathonien du ciel avec François Turrian, directeur romand de l’Association suisse pour la protection des oiseaux, interrogé par Sarah Dirren.
- Le plagiat menace les sciencesLa situation est inquiétante si l'on en croit certains organisme de lutte contre le plagiat. Selon Michelle Bergadaà, professeure à l’Université de Genève (UNIGE) et créatrice de Responsable, près de la moitié des universitaires suisses auraient recours, au moins une fois durant leurs études, à des ghostwriter ou se feraient aider lors de leurs travaux de rédaction. Des comportements qui n'épargneraient pas le corps enseignant. Le point avec Michelle Bergadaà, professeure à l'UniGe et experte en matière de plagiat, au micro de Stéphane Délétroz.
- Voyage dans le cerveau d'une drosophileL'Université de Fribourg étudie l'infiniment petit. Les chercheurs en physique et en biologie sont parvenus à visualiser les particules présentent lors des échanges entre des synapses de drosophiles, ces petites mouches du vinaigre. Ils ont apporté des modification à la technique de "Super resolution microscopy", une technique récompensée par un prix Nobel en 2014. Cette découverte offre des perspectives intéressantes pour l'étude des processus d'apprentissage ou du stockage de la mémoire. Les détails avec Isabelle Spuehler, assistantedoctorante au département de physique et biologie de l'Université de Fribourg, au micro d'Anne Baecher.