Le président philippin en quête de soutien à Pékin, au détriment de Washington
Les Philippines, alliées historiques des Etats-Unis en Asie, amorcent un nouveau virage diplomatique et économique en direction de Pékin, au détriment de Washington. Le pari est risqué, alors que les Philippines sont encore liées par des traités militaires avec les Etats-Unis.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAu sommaire: Donald Trump crée la polémique après avoir refusé de promettre qu'il acceptera une défaite face à Hillary Clinton; le président philippin Rodrigo Duterte en quête de soutien lors de sa visite en Chine, malgré les traités militaires qui lient encore son pays aux Etats-Unis; les étudiants américains s’opposent à la venue de certains élus sur leurs campus; et la Russie inaugure son nouveau "Centre culturel et spirituel orthodoxe" à Paris, un projet à la fois religieux et politique.
- Choc après le refus de Donald Trump de promettre qu'il acceptera sa défaiteQuelque 87% des téléspectateurs disent que le troisième débat présidentiel entre Donald Trump et Hillary Clinton n'a pas modifié leur intention de vote, selon un sondage CNN. Il y a tout de même eu un choc quand Donald Trump a refusé de promettre qu'il accepterait son éventuelle défaite.
- Le président philippin en quête de soutien à Pékin, au détriment de WashingtonLes Philippines, alliées historiques des Etats-Unis en Asie, amorcent un nouveau virage diplomatique et économique en direction de Pékin, au détriment de Washington. Le pari est risqué, alors que les Philippines sont encore liées par des traités militaires avec les Etats-Unis.
- La culture du débat mise à mal sur les campus américainsLa venue du chef de file de l'extrême droite autrichienne Norbert Hofer ce jeudi soir au Graduate Institute à Genève a déclenché de vives réactions chez les étudiants. Aux Etats-Unis, ce type de polémique est bien connu.
- La Russie inaugure son nouveau "Centre culturel et spirituel orthodoxe" à ParisLa Russie a inauguré mercredi à Paris son nouveau "Centre culturel et spirituel orthodoxe" en présence du ministre russe de la Culture. Ce projet, entièrement financé par l’Etat russe, est à la fois religieux et politique.