Le terrorisme mis en fiction: Olivier May
Le Genevois Olivier May fait partie des écrivains qui, en cette rentrée littéraire, transposent sur le mode de la fiction la menace terroriste et la réalité des attentats.
Dans une nouvelle favorisant les flash-back façon cinéma, lʹauteur fait vivre une jeune femme en mal dʹidentité et en rupture scolaire. Abusée par un enseignant, Jane perd pied et sʹouvre aux théories de lʹislamisme le plus radical. Après quelque temps passé sur le front syrien, elle revient en Suisse pour y fomenter un attentat. Cœur de cible: son ancien établissement scolaire.
Fustigeant, sans craindre la caricature, le politiquement correct qui semble prévaloir dans le milieu enseignant, Olivier May propose là un texte resserré et témoigne de son intérêt pour les profondeurs de lʹâme humaine.
Par Jean-Marie Félix
A lire: Olivier May: "Djihad Jane", Ed. Encre Fraîche
Dans une nouvelle favorisant les flash-back façon cinéma, lʹauteur fait vivre une jeune femme en mal dʹidentité et en rupture scolaire. Abusée par un enseignant, Jane perd pied et sʹouvre aux théories de lʹislamisme le plus radical. Après quelque temps passé sur le front syrien, elle revient en Suisse pour y fomenter un attentat. Cœur de cible: son ancien établissement scolaire.
Fustigeant, sans craindre la caricature, le politiquement correct qui semble prévaloir dans le milieu enseignant, Olivier May propose là un texte resserré et témoigne de son intérêt pour les profondeurs de lʹâme humaine.
Par Jean-Marie Félix
A lire: Olivier May: "Djihad Jane", Ed. Encre Fraîche