Paul Klee, un rêveur d’avant-garde (1/5)
En 1940, un créateur allemand d’exception, exilé en Suisse, mourait à l’hôpital de Locarno après avoir révolutionné l’art de son temps et l’avoir enseigné au Bauhaus à Weimar puis à Dessau. L’héritage de Klee reste considérable et repousse les limites de la créativité par son sens onirique, ses tonalités musicales et l’exploration d’univers insolites.
Un jeune Bernois allemand
De ses parents allemands, père professeur de musique à l’École normale de Berne, mère cantatrice et pianiste, le jeune Paul a bénéficié d’un bain culturel aiguillonné par sa grand-mère dessinatrice. Il devint violoniste avant de se consacrer, vers sa vingtième année, à la peinture, non sans avoir tout d’abord échoué à l’examen d’entrée à l’École des Beaux-Arts de Munich.
Par Yves Roulin et Christian Ciocca
Un jeune Bernois allemand
De ses parents allemands, père professeur de musique à l’École normale de Berne, mère cantatrice et pianiste, le jeune Paul a bénéficié d’un bain culturel aiguillonné par sa grand-mère dessinatrice. Il devint violoniste avant de se consacrer, vers sa vingtième année, à la peinture, non sans avoir tout d’abord échoué à l’examen d’entrée à l’École des Beaux-Arts de Munich.
Par Yves Roulin et Christian Ciocca