Une app pour lutter contre le gaspillage alimentaire
Une app pour lutter contre le gaspillage alimentaire
Comment ne pas gaspiller la nourriture invendue par les restaurateurs? Une application lancée au Danemark il y a 10 mois a trouvé la solution en inventant une plateforme sur laquelle les restaurateurs peuvent vendre leurs repas invendus. "Too Good To Go" a débarqué en Suisse romande début octobre 2016. Son concept est assez simple: les restaurateurs proposent des offres de repas invendus aux utilisateurs qui les récupèrent en fin de journée à des prix défiant toute concurrence. Notre journaliste a testé l'application.
Un sujet de Quentin Bohlen diffusé le lundi 24 octobre 2016 dans On en Parle
Comment ne pas gaspiller la nourriture invendue par les restaurateurs? Une application lancée au Danemark il y a 10 mois a trouvé la solution en inventant une plateforme sur laquelle les restaurateurs peuvent vendre leurs repas invendus. "Too Good To Go" a débarqué en Suisse romande début octobre 2016. Son concept est assez simple: les restaurateurs proposent des offres de repas invendus aux utilisateurs qui les récupèrent en fin de journée à des prix défiant toute concurrence. Notre journaliste a testé l'application.
Un sujet de Quentin Bohlen diffusé le lundi 24 octobre 2016 dans On en Parle
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- La revue des unesPar Théo Chavaillaz
- Une app pour lutter contre le gaspillage alimentaireUne app pour lutter contre le gaspillage alimentaire
Comment ne pas gaspiller la nourriture invendue par les restaurateurs? Une application lancée au Danemark il y a 10 mois a trouvé la solution en inventant une plateforme sur laquelle les restaurateurs peuvent vendre leurs repas invendus. "Too Good To Go" a débarqué en Suisse romande début octobre 2016. Son concept est assez simple: les restaurateurs proposent des offres de repas invendus aux utilisateurs qui les récupèrent en fin de journée à des prix défiant toute concurrence. Notre journaliste a testé l'application.
Un sujet de Quentin Bohlen diffusé le lundi 24 octobre 2016 dans On en Parle - Le retour en force des 90ʹsLe retour en force des 90ʹs
Bombers, crop tops, chemise à carreaux et jeans taille haute... A bien observer le look de certains passants dans la rue, on se croirait dans un épisode de "90212 Beverly Hills"! Ça donne presque envie de siffler "Losing My Religion" non? Interview de Nolwenn Le Haguez, de lʹagence Nelly Rodi.
Un sujet dʹAgathe Birden diffusé le lundi 24 octobre 2016 dans Vertigo - Les Autres - Le monstre du Lac CeresioAvec "Les autres", nous prenons le pouls des trois autres régions linguistiques suisses. Tour à tour, nos correspondants alémaniques, tessinois et romanches nous parlent de leurs coins de pays.
Le monstre du Lac Ceresio
Le Tessin est en émoi à cause dʹune créature de 70 kg. Il sʹagit en fait dʹun gros silure. Certains croient dur comme fer que cʹest à ce poisson que lʹon doit diverses disparitions de chiens, voire dʹhumains. Dʹautres, plus lucides, sont dʹavis que le silure représente un danger pour la biodiversité des lacs.
Avec Jenny Alessi, notre correspondante de la RSI, la Radio Suisse italienne - Les slashersLES SLASHERS
A la fois enseignante et web éditrice, vendeur et coach sportif, ils sont multiples et mènent de front 2 voire 3 activités professionnelles, souvent moins par besoin financier que par lʹenvie dʹendosser plusieurs panoplies. Ce sont les slashers. Ils mettent des barres obliques ou des slash à leur carte de visite. Boulanger/céramiste, par exemple.
Le témoignage dʹHadria, responsable de communication / coach de vie/ prof de pilates.
Un sujet de Sophie Proust - L'édito - Ma poste, qu'importe le bureauMa poste, quʹimporte le bureau
Nous avons tous quelque chose du géant jaune. Oui, la Poste est partie intégrante, je dirais même fondatrice, de notre pays et de notre identité. Au même titre que les CFF, les anciens PTT font partie de notre paysage intérieur. Nous y sommes attachés à raison et nous devons défendre cette notion essentielle du bien commun quʹest le service public. Mais pour autant, il ne faut pas vivre dans le passé. Tout organisme doit sʹadapter aux nouvelles conditions de vie. Le monde dans lequel évolue aujourdʹhui la Poste nʹa plus grand-chose à voir avec ce quʹil était encore voici 20 ans. La révolution numérique est passée par là et a changé nos modes de vie. Aujourdʹhui le volume des lettres est en chute libre. Nous utilisons presque tous aujourdʹhui le courrier électronique. Nous effectuons nos paiements depuis chez nous par internet. Pour la plupart dʹentre nous, nous nʹallons plus quʹexceptionnellement dans un bureau de poste. Pour chercher ou poster un paquet ou un recommandé. Dès lors beaucoup de ces bureaux ne sont plus rentables et justifiables.
Ce que nous devons défendre absolument cʹest le service public universel pour tous. Pas le moyen de le rendre. Et si la Poste doit fermer des bureaux non rentables, parce que nous avons changé nos habitudes, elle doit le faire. Et si elle les remplace par des points dʹaccès qui offriront le service minimum universel. Les usagers nʹy perdront rien.
Et très franchement, plutôt que dʹessayer comme la Poste le fait depuis quelques années, de transformer les bureaux de poste en magasin vendant des bonbons, des billets de loteries et de la papeterie, il vaut mieux installer des points postaux dans des commerces existants, des kiosques, des pharmacies ou des boulangeries. Ces petits commerces de proximité, qui ont parfois de la peine à boucler les fins de mois, y trouveront un peu de revenus supplémentaires. La proximité et la convivialité ne seront pas perdantes. Je préfère au fond acheter mes timbres au kiosque du coin que ma barre chocolatée à la Poste.
Par Jean-Marc Béguin
Chaque semaine, le regard pertinent ou impertinent de Jean-Marc Béguin et Michel Zendali sur notre société et son actualité. - Le journal des sportsPar Caroline Reymond
- 6h-9h, les chroniqueursLa " jungle ": depuis lundi et le démantèlement de l'immense camp de réfugiés de Calais, il n'y en a que pour elle. Mais pourquoi la " jungle " ? Ce mot traduit-il ou trahit-il la réalité?
Par Anne-Laure Gannac
Si les technologies de lʹinformation et de la communication sont, dans lʹabsolu, développées pour améliorer la vie de l'homme, leur utilisation peut très vite se retourner contre lui, ce que démontre avec talent la nouvelle saison de Black Mirror. Depuis quʹil en regardé quelques épisodes, Pascal Bernheim hésite à se retirer dans une grotte, sans réseau ni électricité…
Par Pascal Bernheim
Peut-on rester neutre lorsquʹéclatent les conflits? Préserver son enfance sans nier la réalité? Petit pays, 1er roman du franco-rwandais Gaël Faye fait entendre la voix dʹun ado expulsé de son cocon par la violence et lʹécho de lʹinnocence perdue.
Par Geneviève Bridel - La revue de pressePar Estelle Braconnier. Avec le kiosque de Thierry Fischer.
- Les médias - Une journaliste à CalaisUne journaliste à Calais
Ils étaient jusquʹà 700 journalistes à couvrir lʹévacuation de la " jungle " de Calais en début de semaine. Un plan comʹ soigneusement mis au point par le gouvernement français qui a mis de nombreux observateurs très mal à lʹaise face à " la gestion " de la misère humaine.
AVEC
Ariane Hasler, journaliste, correspondante RTS radio à Paris. - Marketing: Faut-il "buzzer" pour réussir?Marketing : faut-il " buzzer " pour réussir?
Les techniques et outils du marketing ne cessent de se renouveler au gré de lʹindustrie et du marché.
Internet est bien-entendu le champ de ces batailles publicitaires dont les consommateurs ne savent finalement pas grand-chose.
Sans nous en apercevoir, nous serions passés du marketing 1.0 au marketing 3.0 voire 4.0 sans même savoir ce que ces notions souvent galvaudées signifient.
Au milieu de cette cacophonie dʹarticles, de vidéos et de pubs sur le web, comment les professionnels du marketing parviennent encore à gagner du " temps d'attention disponible " chez les consommateurs?
A lʹheure où tout le monde fait sa promotion sur les réseaux sociaux, que reste-t-il aux agences de marketing? Le retentissement planétaire, le " buzz " représente-il lʹultime des récompenses du publicitaire ?
Gabriel Dabi-Schwebel, entrepreneur spécialisé dans le marketing interactif et fondateur de lʹagence 1min30.com nous livre quelques clés de ce marketing actuel qui doit sans cesse faire preuve dʹagilité.
Tout aussi souples, nos chroniqueurs Jost Van Reding et Stéphane Laurenceau seront autour de la table pour un tour du monde des plus grosses actions marketing.
Invité : Gabriel Dabi-Schwebel - Marketing et développement web
Chroniqueurs : Jost Von Reding et Stéphane Laurenceau