On en parle
Tout le monde a vécu des chamailleries et autres querelles de préau. Passé un certain stade, on parle de violence scolaire. Les enfants subissant ces violences peuvent vivre de véritables angoisses à l'idée de se rendre à l'école. À partir de quel moment les parents doivent-ils s'inquiéter ? Que faire si mon enfant est l'auteur de ces violences ? Zoé Moody, professeure à la Haute école pédagogique du Valais et collaboratrice scientifique au Centre interfacultaire en droits de l’enfant de l’Université de Genève répond à Philippe Girard et Théo Chavaillaz.
Le sommaire de l’émission
- Carnaval: gare au choix du costume et aux produits de grimage pour enfantsCarnaval rime avec déguisement et grimage. Il faut pourtant se méfier des produits que l'on achète. L'office fédérale de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires a publié une mise en garde contre certains costumes pour enfants ne répondant pas aux normes en matière d'inflammabilité. Le maquillage doit aussi être choisi avec précaution, car il peut abîmer la peau. Sandra Terrettaz, maquilleuse professionnelle, donne quelques conseils sur le choix des produits de maquillage. Un sujet de Quentin Bohlen.
- Tiny House: du rêve à la réalité des loisL'idéal de vie écolo en pleine nature avec sa Tiny House, une mini maison sur roues de 30 mètres carrés, se heurte en Suisse à la dure réalité des lois. Où mettre son mini chez-soi? Sous quelle législation? Peut-on encore acquérir une Tiny House en Suisse? Le rêve est devenu un vrai casse-tête légal. Une chronique de Didier Bonvin.
- Comment mettre fin à la violence scolaire?Tout le monde a vécu des chamailleries et autres querelles de préau. Passé un certain stade, on parle de violence scolaire. Les enfants subissant ces violences peuvent vivre de véritables angoisses à l'idée de se rendre à l'école. À partir de quel moment les parents doivent-ils s'inquiéter ? Que faire si mon enfant est l'auteur de ces violences ? Zoé Moody, professeure à la Haute école pédagogique du Valais et collaboratrice scientifique au Centre interfacultaire en droits de l’enfant de l’Université de Genève répond à Philippe Girard et Théo Chavaillaz.