On en parle
La toute première édition du Royaume du Web a eu lieu les 6 et 7 mai 2017, à Genève. La manifestation a rassemblé plus de 40 Youtubeurs. "On en parle" y avait un stand pour présenter " Datak" son jeu sur les données personnelles. Dès aujourd’hui, il est possible de jouer directement au mini-jeu "Broking Bad" de Datak (lien ci-contre). Prêts à faire un max de pognon?
Le sommaire de l’émission
- Voter blanc en Suisse, quel impact?Lors de la présidentielle française 2017, le vote blanc ou nul a atteint un record. Près de 4 millions d'électeurs ont fait le choix de ne pas choisir! Et ce même si le vote blanc n'est pas pris en compte dans les suffrages français. Pascal Sciarini, professeur de sciences politiques à l’Université de Genève, explique le poids de ces bulletins vierges sur les résultats des votations en Suisse et ailleurs. Par Jérémie Henriod.
- Datak au Royaume du WebLa toute première édition du Royaume du Web a eu lieu les 6 et 7 mai 2017, à Genève. La manifestation a rassemblé plus de 40 Youtubeurs. "On en parle" y avait un stand pour présenter " Datak" son jeu sur les données personnelles. Dès aujourd’hui, il est possible de jouer directement au mini-jeu "Broking Bad" de Datak (lien ci-contre). Prêts à faire un max de pognon?
- Le gaspillage vestimentaire30% des vêtements des Suisses restent dans leurs armoires et ne sont jamais portés. Il s’agit du chiffre avancé par l’association Fair’act, une association qui a lancé début mars 2017 sa plateforme web pour une mode éthique. Comment expliquer que le gaspillage vestimentaire soit aussi élevé que le gaspillage alimentaire, alors qu’a priori, le vêtement n’est pas une denrée périssable? Les explications et les bons conseils de Fanny Dumas, co-présidente de Fair’act. Par Frédérique Volery.
- Apprendre la langue des signesEn Suisse romande, selon la Fédération suisse des sourds, environ 200 personnes se lancent où poursuivent leur formation en langue des signes chaque semestre, un chiffre qui ne cesse d'augmenter. Des cours fleurissent un peu partout. Bref, la langue des signes est dans le vent. Annick Meli, une Jurassienne de 46 ans, apprend la langue des signes depuis quatre ans. Cette habitante du petit village d'Undervelier, mère de trois enfants, a expliqué à Pauline Vrolixs pourquoi elle s'est lancée dans cet apprentissage. Pour décrypter cette tendance, Sandrine Burger, responsable médias de la Fédération suisse des sourds, rejoint le plateau d'On en parle.