On en parle
Des lunettes d’appoint sans correction ou des lunettes correctives avec un traitement anti lumière bleue sont apparues chez les opticiens. Phénomène de mode ou vraie utilité? On en parle avec Thomas Wolfsenberger, directeur médical de l'Hôpital ophtalmique Jules Gonin, et Pierre-Alain Herdé, opticien à Lausanne.
Le sommaire de l’émission
- Enzyme OGM dans une tresse sans glutenLes petites tresses de Migros vendues sous la marque "Aha!" sans gluten, sans lactose, sans blé, sont élaborées à l'aide d'une enzyme issue de bactéries génétiquement modifiées, révèle une enquête d'On en parle. Cet "auxiliaire technologique" est sans danger pour la santé, assure l'Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV) qui a autorisé son utilisation en 2015 déjà. Mais l'absence de déclaration sur l'étiquette du produit dérange la Fédération romande des consommateurs. Quant à l'Association suisse des boulangers-confiseurs, elle se désolidarise totalement de cette pratique. Un sujet d'Yves-Alain Cornu.
- Être actif en ligne peut-il réduire une rente AI?Vous percevez une rente AI. Une activité sur les réseaux sociaux peut-elle amener un office cantonal d'assurance-invalidité à réduire votre rente? Réponse avec Dominique Dorthe, porte-parole de l'Office d'assurance-invalidité Vaud, au micro de Sophie Proust.
- De l'utilité des lunettes filtrant la lumière bleueDes lunettes d’appoint sans correction ou des lunettes correctives avec un traitement anti lumière bleue sont apparues chez les opticiens. Phénomène de mode ou vraie utilité? On en parle avec Thomas Wolfsenberger, directeur médical de l'Hôpital ophtalmique Jules Gonin, et Pierre-Alain Herdé, opticien à Lausanne.
- Peut-on partager un article de presse sur les réseaux sociaux?Qui n'a pas partagé au moins une fois dans sa vie d'internaute un article de presse par e-mail ou sur les réseaux sociaux? Si l'on entend souvent parler du droit d'auteur pour la musique ou l'image, qu'en est-il pour les articles de presse écrite ou les articles en ligne? Frédérique Volery recueille la réponse de Thomas Widmer, avocat spécialiste de la propriété intellectuelle à Genève. En nouvelle diffusion.