Espace dʹespèces: les corridors biologiques
Assuré un continuum entre nature et environnement construit, cʹest lʹobjectif des corridors biologiques. Au-delà de la préservation de la biodiversité, ils sont un enjeux majeur en terme dʹaménagement urbain et dʹamélioration du cadre de vie.
Un dossier réalisé en collaboration avec "La Revue Durable".
Serait-il enfin fini le temps ou la notion de progrès se mesurait aux tonnes de béton déversées sur un territoire donné? Les sociétés humaines commenceraient-elles à évaluer à leur juste valeur le bénéfice quʹelles tireraient à mieux prendre en compte les continuums naturel dans les espaces urbanisés? Car il ne sʹagit pas seulement de favoriser la biodiversité dʹune région. Les couloirs biologiques se révèlent également un formidable outils dʹamélioration du cadre de vie en ville.
Dans son numéro 52 le trimestriel "La Revue Durable" consacre un dossier très complet aux couloirs biologiques. Elle relève que depuis les années 90, beaucoup de pays européens se sont mis à établir des cartes de connectivité. En 1996, ils ont même validés une stratégie paneuropéenne pour protéger la diversité biologique et paysagère. Une stratégie dont lʹun des principaux objectifs est la création dʹun réseau écologique paneuropéen.
Et en Suisse? Notre pays a fini dʹétablir son réseau écologique national en 2004. Cʹest un début! Pionnière en la matière, lʹagglomération Franco-Valdo Genevoise mène déjà un ambitieux programme de reconstitution des trames écologiques. Avec les "contrats corridors", la région se donne les moyens de favoriser la libre circulation des espèces sur ce territoire trans-frontalier dramatiquement morcelé sous les coups de buttoirs de la pression économique et démographique. Exemple sur le terrain avec le contrat corridors "Vesancy-Versoix" que Lucile Solari a arpenté en compagnie de Sébastien Beuchat à la tête de la direction générale de la nature et du paysage au sein du du DETA (Département Environnement, Transports et Agriculture) du Canton de Genève, Aline Blaser, Cheffe de projet et Sylvie Duret chargée dʹétudes au conservatoire dʹEspace Naturels Rhône-Alpes.
Une nouvelle diffusion du sujet proposé le samedi 15 novembre 2014.
Un dossier réalisé en collaboration avec "La Revue Durable".
Serait-il enfin fini le temps ou la notion de progrès se mesurait aux tonnes de béton déversées sur un territoire donné? Les sociétés humaines commenceraient-elles à évaluer à leur juste valeur le bénéfice quʹelles tireraient à mieux prendre en compte les continuums naturel dans les espaces urbanisés? Car il ne sʹagit pas seulement de favoriser la biodiversité dʹune région. Les couloirs biologiques se révèlent également un formidable outils dʹamélioration du cadre de vie en ville.
Dans son numéro 52 le trimestriel "La Revue Durable" consacre un dossier très complet aux couloirs biologiques. Elle relève que depuis les années 90, beaucoup de pays européens se sont mis à établir des cartes de connectivité. En 1996, ils ont même validés une stratégie paneuropéenne pour protéger la diversité biologique et paysagère. Une stratégie dont lʹun des principaux objectifs est la création dʹun réseau écologique paneuropéen.
Et en Suisse? Notre pays a fini dʹétablir son réseau écologique national en 2004. Cʹest un début! Pionnière en la matière, lʹagglomération Franco-Valdo Genevoise mène déjà un ambitieux programme de reconstitution des trames écologiques. Avec les "contrats corridors", la région se donne les moyens de favoriser la libre circulation des espèces sur ce territoire trans-frontalier dramatiquement morcelé sous les coups de buttoirs de la pression économique et démographique. Exemple sur le terrain avec le contrat corridors "Vesancy-Versoix" que Lucile Solari a arpenté en compagnie de Sébastien Beuchat à la tête de la direction générale de la nature et du paysage au sein du du DETA (Département Environnement, Transports et Agriculture) du Canton de Genève, Aline Blaser, Cheffe de projet et Sylvie Duret chargée dʹétudes au conservatoire dʹEspace Naturels Rhône-Alpes.
Une nouvelle diffusion du sujet proposé le samedi 15 novembre 2014.
Espace dʹespèces: les corridors biologiques
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreDossier: Espace dʹespèces: les corridors biologiques
Chronique: Le Rougequeue à front blanc, emblème de biodiversité - Espace dʹespèces: les corridors biologiquesAssuré un continuum entre nature et environnement construit, cʹest lʹobjectif des corridors biologiques. Au-delà de la préservation de la biodiversité, ils sont un enjeux majeur en terme dʹaménagement urbain et dʹamélioration du cadre de vie.
Un dossier réalisé en collaboration avec "La Revue Durable".
Serait-il enfin fini le temps ou la notion de progrès se mesurait aux tonnes de béton déversées sur un territoire donné? Les sociétés humaines commenceraient-elles à évaluer à leur juste valeur le bénéfice quʹelles tireraient à mieux prendre en compte les continuums naturel dans les espaces urbanisés? Car il ne sʹagit pas seulement de favoriser la biodiversité dʹune région. Les couloirs biologiques se révèlent également un formidable outils dʹamélioration du cadre de vie en ville.
Dans son numéro 52 le trimestriel "La Revue Durable" consacre un dossier très complet aux couloirs biologiques. Elle relève que depuis les années 90, beaucoup de pays européens se sont mis à établir des cartes de connectivité. En 1996, ils ont même validés une stratégie paneuropéenne pour protéger la diversité biologique et paysagère. Une stratégie dont lʹun des principaux objectifs est la création dʹun réseau écologique paneuropéen.
Et en Suisse? Notre pays a fini dʹétablir son réseau écologique national en 2004. Cʹest un début! Pionnière en la matière, lʹagglomération Franco-Valdo Genevoise mène déjà un ambitieux programme de reconstitution des trames écologiques. Avec les "contrats corridors", la région se donne les moyens de favoriser la libre circulation des espèces sur ce territoire trans-frontalier dramatiquement morcelé sous les coups de buttoirs de la pression économique et démographique. Exemple sur le terrain avec le contrat corridors "Vesancy-Versoix" que Lucile Solari a arpenté en compagnie de Sébastien Beuchat à la tête de la direction générale de la nature et du paysage au sein du du DETA (Département Environnement, Transports et Agriculture) du Canton de Genève, Aline Blaser, Cheffe de projet et Sylvie Duret chargée dʹétudes au conservatoire dʹEspace Naturels Rhône-Alpes.
Une nouvelle diffusion du sujet proposé le samedi 15 novembre 2014. - Le Rougequeue à front blanc, emblème de biodiversitéQuasiment disparu de nos campagnes au cours de ces 40 dernières années, le Rougequeue à Front blanc a trouvé refuge dans les zones urbaines faiblement densifiées.
A la Chaux-de Fond, ce petit passereau migrateur est devenu lʹemblème de la biodiversité en ville. Il est à la base du "réseau espaces verts" en ville de La Chaux-de-Fond, sous lʹaile du "Rougequeue à front blanc".
Un projet exemplaire de densification écologique en milieu urbain, où scientifiques et édiles travaillent en bonne intelligence pour un même objectif.
Reportage dans la ville horlogère, en compagnie du biologiste Valery Uldry, en charge du projet.
Une nouvelle diffusion du sujet proposé le samedi 11 juin 2016.
![Rougequeue à front blanc. [CC BY-SA 2.0 - Steve Garvie]](https://img.rts.ch/articles/2017/image/77wc4l-26015138.image?w=320&h=320 "Rougequeue à front blanc. [CC BY-SA 2.0 - Steve Garvie]")