Le pouvoir des multinationales pointé du doigt dans une conférence à La Chaux-de-Fonds
"Le totalitarisme pervers - ou comment les multinationales imposent leur loi" était l’intitulé d’une conférence donnée mardi à La Chaux-de-Fonds. Elle avait pour but de remettre en cause de manière critique le rôle des multinationales et leur emprise sur la politique et nos sociétés.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAu sommaire: les élus et hauts fonctionnaires catalans pris au milieu du conflit politique sur l'indépendance de la Catalogne, le débat sur le réchauffement climatique relancé aux Etats-Unis après les catastrophes naturelles, le pouvoir des multinationales pointé du doigt dans une conférence à la Chaux-de-Fonds, et le drame des Rohingyas, réprimés par l'armée birmane.
- Les élus et hauts fonctionnaires catalans doivent choisir entre Barcelone et MadridLe référendum organisé par le gouvernement catalan sur l'indépendance de la Catalogne est prévu pour le 1er octobre. Mais l'Etat espagnol promet d'arrêter ce vote parce qu'il est illégal. Pris au milieu, des milliers d'élus locaux et de hauts fonctionnaires vont devoir choisir à qui obéir.
- Les catastrophes naturelles relancent le débat sur le réchauffement climatique aux USAHarvey, au Texas, et Irma, en Floride, n'ont pas fait que des victimes et des dégâts matériels. Ils ont aussi fait ressurgir aux Etats-Unis le débat sur le réchauffement climatique. La position climatosceptique semble fragilisée en Floride, un Etat qui a pourtant soutenu Donald Trump.
- Le pouvoir des multinationales pointé du doigt dans une conférence à La Chaux-de-Fonds"Le totalitarisme pervers - ou comment les multinationales imposent leur loi" était l’intitulé d’une conférence donnée mardi à La Chaux-de-Fonds. Elle avait pour but de remettre en cause de manière critique le rôle des multinationales et leur emprise sur la politique et nos sociétés.
- Pour quelles raisons les Rohingyas sont-ils réprimés par l'armée birmane?Plus de 370'000 Rohingyas se sont réfugiés au Bangladesh, fuyant la répression de l'armée birmane. La cheffe du gouvernement birman Aung San Suu Kyi a dénoncé un "iceberg de désinformation" au service de prétendus intérêts terroristes.