Le procès de l'ancien président brésilien Lula accusé de corruption s'est ouvert
Le procès de l'ancien président brésilien Lula, accusé d’avoir bénéficié de faveurs pour des biens immobiliers, s’est ouvert mercredi. L’accusation se base sur la collaboration avec la justice du club très fermé des plus grands industriels brésiliens, comme Emilio Odebrecht, ami de l'ancien président.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAu sommaire: La rencontre entre le ministre russe des Affaires étrangères et Donald Trump au lendemain du licenciement de James Comey, le regard d'un stratège républicain sur les Etats-Unis, l'ouverture du procès de l'ancien président brésilien Lula, et la critique de l'ONU sur le blocage humanitaire d’Aung San Suu Kyi en Birmanie.
- Le ministre russe des Affaires étrangères rencontre Donald Trump au lendemain du licenciement de James ComeyDonald Trump a reçu le ministre russe des Affaires étrangères Sergei Lavrov, mercredi, à la Maison blanche. Cet entretien s'est déroulé au lendemain du limogeage de James Comey, directeur du FBI, qui enquêtait justement sur des liens présumés entre l’équipe de Donald Trump et Moscou.
- Regard d'un stratège républicain sur les Etats-Unis, après le licenciement du directeur du FBIAvant d'être licencié, James Comey, directeur du FBI, avait demandé des budgets supplémentaires pour accélérer son enquête sur les liens entre la Russie et l'équipe de Donald Trump. Inquiet, le Sénat passe à la vitesse supérieure dans ses investigations. Interview de John Weaver, stratège républicain.
- Le procès de l'ancien président brésilien Lula accusé de corruption s'est ouvertLe procès de l'ancien président brésilien Lula, accusé d’avoir bénéficié de faveurs pour des biens immobiliers, s’est ouvert mercredi. L’accusation se base sur la collaboration avec la justice du club très fermé des plus grands industriels brésiliens, comme Emilio Odebrecht, ami de l'ancien président.
- L'ONU critique le blocage humanitaire d’Aung San Suu Kyi, aggravant la situation les RohingyasLes Rohingyas, communauté musulmane de Birmanie, sont l’une des minorités les plus persécutées au monde. Des dizaines de milliers de Rohingyas ont fui ces derniers mois vers le Bangladesh voisin. L’ONU n’hésite plus à critiquer le gouvernement d’Aung San Suu Kyi pour sa gestion de la crise.