Point de fuite: métisse au Japon, étrangère dans son propre pays
Métisse au Japon: étrangère dans son propre pays
Au Japon, les étrangers sont appelés les "Gaijin", littéralement, "ceux qui viennent de l'extérieur". Quant aux métis dont lʹun des parents est japonais, on les appelle des "hafu", contraction du mot anglais "half" qui signifie " moitié ". Le Japon reste l'un des pays du monde les plus fermés à lʹimmigration avec le Mexique et la Corée du sud. Il y a peu de travailleurs étrangers, le tourisme de masse est tout juste en train de se développer. Aujourd'hui encore, il existe très peu de couples mixtes: seulement 1,6 % de la population est immigrée. Tous les étrangers l'affirment: malgré leur intégration, l'apprentissage de la langue ou leur travail, ils ne seront jamais perçus comme des Japonais. Pour les binationaux c'est donc parfois compliqué d'affirmer leur double culture. Octavia, franco-japonaise installée à Tokyo, ne sʹest jamais sentie aussi française que dans le pays de son père.
Un reportage de Sophia Marchesin réalisé par Christian Morerod
Production: Muriel Mérat & Christophe Canut
Au Japon, les étrangers sont appelés les "Gaijin", littéralement, "ceux qui viennent de l'extérieur". Quant aux métis dont lʹun des parents est japonais, on les appelle des "hafu", contraction du mot anglais "half" qui signifie " moitié ". Le Japon reste l'un des pays du monde les plus fermés à lʹimmigration avec le Mexique et la Corée du sud. Il y a peu de travailleurs étrangers, le tourisme de masse est tout juste en train de se développer. Aujourd'hui encore, il existe très peu de couples mixtes: seulement 1,6 % de la population est immigrée. Tous les étrangers l'affirment: malgré leur intégration, l'apprentissage de la langue ou leur travail, ils ne seront jamais perçus comme des Japonais. Pour les binationaux c'est donc parfois compliqué d'affirmer leur double culture. Octavia, franco-japonaise installée à Tokyo, ne sʹest jamais sentie aussi française que dans le pays de son père.
Un reportage de Sophia Marchesin réalisé par Christian Morerod
Production: Muriel Mérat & Christophe Canut
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Psycho fiction: tranchant comme ZatoichiQuand il tranche cʹest dans le vif. Son meilleur ami est un sabre et il nʹa pas besoin de voir pour être le meilleur combattant du Japon.
Rencontre avec un personnage mythique de la culture japonaise: Zatoichi, le masseur ambulant, aveugle et maître absolu dans lʹart du sabre japonais, celui qui coupe. - Point de fuite: métisse au Japon, étrangère dans son propre paysMétisse au Japon: étrangère dans son propre pays
Au Japon, les étrangers sont appelés les "Gaijin", littéralement, "ceux qui viennent de l'extérieur". Quant aux métis dont lʹun des parents est japonais, on les appelle des "hafu", contraction du mot anglais "half" qui signifie " moitié ". Le Japon reste l'un des pays du monde les plus fermés à lʹimmigration avec le Mexique et la Corée du sud. Il y a peu de travailleurs étrangers, le tourisme de masse est tout juste en train de se développer. Aujourd'hui encore, il existe très peu de couples mixtes: seulement 1,6 % de la population est immigrée. Tous les étrangers l'affirment: malgré leur intégration, l'apprentissage de la langue ou leur travail, ils ne seront jamais perçus comme des Japonais. Pour les binationaux c'est donc parfois compliqué d'affirmer leur double culture. Octavia, franco-japonaise installée à Tokyo, ne sʹest jamais sentie aussi française que dans le pays de son père.
Un reportage de Sophia Marchesin réalisé par Christian Morerod
Production: Muriel Mérat & Christophe Canut - Humans of Suisse Romande: Jean-Claude, 36 ans, MorgesOfficier de l'état civil, Jean-Claude a déjà célébré plus de 300 mariages.
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