A boire et à manger… ses propres déchets
Urinothérapie, coprophagie, placentophagie, rhinotillexophagie… gros plan sur des pratiques qui consistent à ingérer ses propres déchets corporels. Y a-t-il des effets, positifs ou négatifs, à consommer ses urines, ses excréments, son placenta ou ses crottes de nez?
Les réponses de médecins et de toxicologues conviés par Bastien Confino.
Avec Michel Burnier, chef du Service de néphrologie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Marie Cohen, professeure assistante au Département de gynécologie obstétrique aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), et Marc Augsburger, responsable de l’Unité de toxicologie et de chimie forensique au Centre universitaire romand de médecine légale.
> Un dossier en nouvelle diffusion
Les réponses de médecins et de toxicologues conviés par Bastien Confino.
Avec Michel Burnier, chef du Service de néphrologie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Marie Cohen, professeure assistante au Département de gynécologie obstétrique aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), et Marc Augsburger, responsable de l’Unité de toxicologie et de chimie forensique au Centre universitaire romand de médecine légale.
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