Comment le cancer peut croître et se multiplier si rapidement
Une découverte tessinoise ouvre potentiellement de nouvelles portes dans le traitement du cancer. Les biologistes ont découvert un des processus qui permet aux cellules cancéreuses de proliférer. Pour grandir et se multiplier, ces cellules ont besoin d'énergie et donc de lipides.
Andrea Cavalli, professeur à l'Institut de recherche en biomédecine de l'Université de la Suisse italienne, spécialiste en biologie computationnelle, présente les résultats de cette étude.
Andrea Cavalli, professeur à l'Institut de recherche en biomédecine de l'Université de la Suisse italienne, spécialiste en biologie computationnelle, présente les résultats de cette étude.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Comment le cancer peut croître et se multiplier si rapidementUne découverte tessinoise ouvre potentiellement de nouvelles portes dans le traitement du cancer. Les biologistes ont découvert un des processus qui permet aux cellules cancéreuses de proliférer. Pour grandir et se multiplier, ces cellules ont besoin d'énergie et donc de lipides.
Andrea Cavalli, professeur à l'Institut de recherche en biomédecine de l'Université de la Suisse italienne, spécialiste en biologie computationnelle, présente les résultats de cette étude. - La biologie de l’espace (2/4): le squelette dans l'espaceChaque mardi du mois de janvier 2018, Bastien Confino vous propose de prendre un peu de hauteur avec une série de reportages consacrés à la biologie de l’espace.
Pour ce deuxième épisode, Bastien Confino s’intéresse au squelette. Même s’il est très peu utilisé puisqu’il n’a rien à porter, le squelette est mis à rude épreuve dans les voyages spatiaux. Les explications de Laurence Vico, directrice de recherche à l’INSERM de Saint-Etienne, et Arnaud Beck, directeur de la recherche clinique à Medes. - Le secret de longévité du chêne de NapoléonUne équipe de chercheurs lausannois ont analysé le génome du chêne bicentenaire planté à Dorigny, sur le campus de l'Université de Lausanne. Ce matériel génétique montre que l’arbre est capable de se protéger contre l’accumulation de mutations génétiques délétères.
Les explications de Philippe Reymond, professeur au Département de biologie moléculaire de l'Université de Lausanne et initiateur du projet Napoleome.