Le rôle de l’ocytocine dans les relations humaines
Anne Baecher s'intéressa à "l'hormone de l'amour" et à son influence sur nos comportements. Selon une récente étude, l’ocytocine impacte nos interactions sociales, notamment lorsque nous coopérons et que nous tenons des conversations.
Les détails avec la chercheuse en psychologie Jennifer McClung et la doctorante en biologie Zegni Triki, du Centre des sciences cognitives de l’Université de Neuchâtel, qui ont démontré pour la première fois l’implication de l’ocytocine dans ces interactions sociales.
Les détails avec la chercheuse en psychologie Jennifer McClung et la doctorante en biologie Zegni Triki, du Centre des sciences cognitives de l’Université de Neuchâtel, qui ont démontré pour la première fois l’implication de l’ocytocine dans ces interactions sociales.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Le rôle de l’ocytocine dans les relations humainesAnne Baecher s'intéressa à "l'hormone de l'amour" et à son influence sur nos comportements. Selon une récente étude, l’ocytocine impacte nos interactions sociales, notamment lorsque nous coopérons et que nous tenons des conversations.
Les détails avec la chercheuse en psychologie Jennifer McClung et la doctorante en biologie Zegni Triki, du Centre des sciences cognitives de l’Université de Neuchâtel, qui ont démontré pour la première fois l’implication de l’ocytocine dans ces interactions sociales. - Néandertal en expo à ParisStéphane Délétroz vous emmène au Musée de l’Homme, à Paris, à la découverte de l’homme de Néandertal. "Néandertal l'expo" entend casser l’image d’un cousin primitif, simiesque et bestial, et souhaite réhabiliter cet humain à part entière.
Visite en compagnie de Marylène Patou-Mathis, commissaire scientifique de l’exposition. - Pourquoi les hommes prennent du ventre et les femmes des cuisses et des hanchesLes hommes et les femmes ne sont pas égaux devant la prise de poids. De manière générale, les hommes accumulent les graisses plutôt dans le ventre alors que les femmes prennent du poids plutôt dans les cuisses et les hanches. Bastien Confino s'est posé la question du pourquoi de cette différence.
Les réponses de Vittorio Giusti, spécialiste FMH en endocrinologie et directeur médical du Centre médico-chirurgical de l’obésité de La Source, à Lausanne. - Le comment du pourquoi: malade comme un chienL'expression "malade comme un chien" laisse penser que ces animaux sont plus souvent malades que les humains. Est-ce le cas?
La réponse de Laurent Vallotton, adjoint scientifique du Muséum d'Histoire naturelle de Genève, au micro d'Huma Khamis.