Musique: Les ballades boisées de Black Sea Dahu
Le groupe zurichois sort son premier album, enregistré au nord de la Norvège. Cette formation sʹinscrit dans un courant folk urbain en plein développement.
Derrière Black Sea Dahu, se cache cinq instrumentistes, dont une fratrie de trois musiciens menés par la guitariste et chanteuse Janine Cathrein, quʹa rencontré Michel Masserey.
Derrière Black Sea Dahu, se cache cinq instrumentistes, dont une fratrie de trois musiciens menés par la guitariste et chanteuse Janine Cathrein, quʹa rencontré Michel Masserey.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Théâtre: These are my principles…"Voici mes principes… jʹen ai dʹautres si vous ne les aimez pas", le titre est emprunté au comique Groucho Marx. Voici un spectacle conçu comme un ping-pong de questions-réponses plus ou moins loufoques. Sur scène au Théâtre St-Gervais de Genève du 22 au 25 novembre 2018, Phil Hayes et Nada Gambier jouent aussi les DJʹs et cette joute est en anglais, langue maternelle de Mister Hayes, qui crée ses spectacles à Zurich. Oui, le théâtre suisse peut aussi être anglophone. Il nʹen est que plus drôle.
Interview au micro de Thierry Sartoretti. - Musique: Les ballades boisées de Black Sea DahuLe groupe zurichois sort son premier album, enregistré au nord de la Norvège. Cette formation sʹinscrit dans un courant folk urbain en plein développement.
Derrière Black Sea Dahu, se cache cinq instrumentistes, dont une fratrie de trois musiciens menés par la guitariste et chanteuse Janine Cathrein, quʹa rencontré Michel Masserey. - Cinéma: Alice Rohrwacher, lʹart du cinéma en pelliculeSortie ce mercredi de "Heureux comme Lazzaro" dʹAlice Rohrwacher. Lʹhistoire dʹun jeune paysan candide exploité par une marquise dans un hameau italien. Un jour, il tombe dʹune falaise. Vingt ans plus tard, il revient, sans avoir pris une ride, et retrouve ses anciens camarades qui subsistent dans le bidonville dʹune grande ville contemporaine. Un conte réaliste et mystique, prix du scénario au dernier festival de Cannes, tourné en pellicule, comme les deux précédents films de la cinéaste.
Alice Rohrwacher raconte, au micro de Rafael Wolf, son dégoût du cinéma numérique.