Quand une tempête solaire s'invitait dans la guerre du Vietnam
Bastien Confino relate une histoire étonnante d'interaction entre un phénomène solaire et des phénomènes terrestres. Le 4 août 1972, une éruption énorme jailli de la surface du soleil. Comme à chacun de ces phénomènes d’éjection solaire, les aurores boréales et australes envahissent le ciel. Dans le golfe du Tonkin, en pleine guerre du Vietnam, des dizaines de mines marines explosent!
Les explications du physicien Christophe Perez, médiateur scientifique.
Les explications du physicien Christophe Perez, médiateur scientifique.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Quand une tempête solaire s'invitait dans la guerre du VietnamBastien Confino relate une histoire étonnante d'interaction entre un phénomène solaire et des phénomènes terrestres. Le 4 août 1972, une éruption énorme jailli de la surface du soleil. Comme à chacun de ces phénomènes d’éjection solaire, les aurores boréales et australes envahissent le ciel. Dans le golfe du Tonkin, en pleine guerre du Vietnam, des dizaines de mines marines explosent!
Les explications du physicien Christophe Perez, médiateur scientifique. - L'artemisia, une plante pour lutter contre la malariaAdrien Zerbini vous emmène à Madagascar découvrir l’univers de l’artemisia, une plante connue pour ses vertus antipaludiques. Il vous propose une découverte botanique et pharmacologique en suivant le chemin depuis la pépinière jusqu’à la poudre d’artémisinine pure.
Avec le technicien agricole François Petit, l'ingénieur Freddy Alber et la paysanne "Madame Clarisse". - Les antibiotiques s'offrent une croisièreHuma Khamis s'intéresse aux causes environnementales liées à la résistance aux antibiotiques. Cette résistance n’est pas qu'une affaire d’hôpitaux ou de personnes malades. Des bactéries résistantes aux antibiotiques sont également présentes dans notre environnement direct, comme dans les lacs et les rivières. En cause, la libération d’antibiotiques dans les eaux usées et dans les eaux de ruissellement.
Le point sur la situation avec John Poté, directeur du Groupe de microbiologie environnementale de L’Université de Genève.