Un pas de plus vers le stockage de données sur un atome unique
Alors que nous avons plus que jamais besoin de stocker des données numériques, les disques durs classiques et les supports magnétiques atteignent leurs limites. Des scientifiques de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) planchent sur la question des aimants à atomes unique et viennent de franchir une étape importante pour la stabilité de ce procédé.
Les explications de Fabian Natterer, chercheur au Laboratoire des nanostructure sur des surfaces de l’EPFL, interrogé par Huma Khamis.
Les explications de Fabian Natterer, chercheur au Laboratoire des nanostructure sur des surfaces de l’EPFL, interrogé par Huma Khamis.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Un pas de plus vers le stockage de données sur un atome uniqueAlors que nous avons plus que jamais besoin de stocker des données numériques, les disques durs classiques et les supports magnétiques atteignent leurs limites. Des scientifiques de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) planchent sur la question des aimants à atomes unique et viennent de franchir une étape importante pour la stabilité de ce procédé.
Les explications de Fabian Natterer, chercheur au Laboratoire des nanostructure sur des surfaces de l’EPFL, interrogé par Huma Khamis. - Gros plan sur le syndrome de la domesticationLucia Sillig se penche sur une observation assez intrigante appelée le syndrome de domestication. Déjà évoqué par Darwin, il s'agit de caractéristiques communes chez la plupart des espèces domestiquées: des oreilles plus pendantes, des tâches claires sur le pelage, une réduction de la taille du crâne ou du museau, notamment.
Les détails avec Allowen Evin, chercheuse au CNRS et à l’Institut des sciences de l’évolution de Montpellier, Anna Lindholm, du Département de biologie évolutionniste de l’Université de Zurich, et Cedric Boeckx, de l’Institut catalan pour la recherche et les études avancées de Barcelone. - Coup de chaud sur la villeL'été, la température monte dans les villes. C'est en partie à cause des surfaces minérales qui y sont plus développées que les surfaces végétales. A l'invitation du collectif Sauvageons en ville, Cécile Guérin vous emmène déambuler dans les rues de Lausanne pour observer comment la nature en ville peut atténuer ces coups de chaud.
Avec Christophe Randin, chercheur en biogéographie et spécialiste des relations plantes-microclimat à l’Université de Lausanne (Unil).