Une recherche secoue l’explosion cambrienne
Ça bouge en paléontologie, grâce à une étude qui émane des Universités de Lausanne (Unil) et d’Oxford. Elle remet en question la période connue sous le nom "d'explosion cambrienne", située entre 540 et 500 millions d'années, durant laquelle il est admis que tous les groupes d'animaux sont apparus. D'après les experts lausannois, il ne s'agirait pas d'une explosion, mais d'une déflagration lente…
Les explications d'Allisson Daley, professeure à la Faculté des géosciences de l’environnement de l’Unil et co-auteure de ce travail, interrogée par Huma Khamis.
Les explications d'Allisson Daley, professeure à la Faculté des géosciences de l’environnement de l’Unil et co-auteure de ce travail, interrogée par Huma Khamis.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Une recherche secoue l’explosion cambrienneÇa bouge en paléontologie, grâce à une étude qui émane des Universités de Lausanne (Unil) et d’Oxford. Elle remet en question la période connue sous le nom "d'explosion cambrienne", située entre 540 et 500 millions d'années, durant laquelle il est admis que tous les groupes d'animaux sont apparus. D'après les experts lausannois, il ne s'agirait pas d'une explosion, mais d'une déflagration lente…
Les explications d'Allisson Daley, professeure à la Faculté des géosciences de l’environnement de l’Unil et co-auteure de ce travail, interrogée par Huma Khamis. - La misophonie ou la haine du bruitCécile Guérin s'intéresse à la misophonie. Cette aversion aux sons du quotidien est un trouble qui peut réellement gâcher la vie sociale et affective des personnes touchées. Ces réactions disproportionnées face au bruit sont mal connues du corps médical.
Témoignage et explication avec Othman Sentissi, psychiatre au Département de santé mentale des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). - Le quantified self 2.0 ou la prévention personnalisée90 étudiants lausannois portent depuis bientôt quatre mois une montre qui mesure leur activité physique. Le concept: la prévention personnalisée. Imaginez que votre smartphone vous propose un matin de trouver 30 minutes pour aller marcher ou de faire 50 pompes, mais que ces conseils reposent sur des mesures faites sur vous en continu et qu’ils puissent vous éviter de développer des maladies.
On en parle avec Grégoire Millet, professeur à l’Institut des sciences du sports de l’Université de Lausanne.