Des champignons mangeurs dʹinsectes-Le séquençage des pathogènes pour suivre les épidémies
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Gros plan sur des champignons qui ne sont pas mangés mais qui mangent des insectes. Ils pourraient être utiles en agriculture car ce sont de redoutables tueurs sélectifs. De plus en plus de recherches sʹintéressent au rôle quʹils peuvent jouer dans la lutte contre certains nuisibles.
Pour en savoir plus, Huma Khamis s'est rendue au Laboratoire plantes et pathogènes de la Haute école du paysage, dʹingénierie et dʹarchitecture de Genève (HEPIA) à la rencontre de son directeur, François Lefort, ainsi que de Falc Zollinger, Bachelor HES, et de Corentin Descombes, Bachelor et étudiant en master HES.
Identifier génétiquement les bactéries et les virus pathogènes pour mieux surveiller les épidémies, cʹest une des possibilités de la biologie computationnelle. Cécile Guérin évoque un projet novateur dans ce domaine: la plateforme suisse de surveillance des pathogènes.
Avec Aitana Lebrand, responsable de ce projet à lʹInstitut Suisse de Bio-informatique, et Jacques Schrenzel, chef du Laboratoire de bactériologie et du Laboratoire de génomique des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).
Gros plan sur des champignons qui ne sont pas mangés mais qui mangent des insectes. Ils pourraient être utiles en agriculture car ce sont de redoutables tueurs sélectifs. De plus en plus de recherches sʹintéressent au rôle quʹils peuvent jouer dans la lutte contre certains nuisibles.
Pour en savoir plus, Huma Khamis s'est rendue au Laboratoire plantes et pathogènes de la Haute école du paysage, dʹingénierie et dʹarchitecture de Genève (HEPIA) à la rencontre de son directeur, François Lefort, ainsi que de Falc Zollinger, Bachelor HES, et de Corentin Descombes, Bachelor et étudiant en master HES.
Identifier génétiquement les bactéries et les virus pathogènes pour mieux surveiller les épidémies, cʹest une des possibilités de la biologie computationnelle. Cécile Guérin évoque un projet novateur dans ce domaine: la plateforme suisse de surveillance des pathogènes.
Avec Aitana Lebrand, responsable de ce projet à lʹInstitut Suisse de Bio-informatique, et Jacques Schrenzel, chef du Laboratoire de bactériologie et du Laboratoire de génomique des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).