Incendie de Notre-Dame: la force des images
Mardi, Le Temps se distinguait en Suisse romande en consacrant l'intégralité de sa première page à un seul sujet: l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Mercredi, ce quotidien choisissait une image décalée pour revenir sur ce sujet. Catherine Rüttimann, responsable de l'iconographie pour Le Temps détaille ces choix. De son côté, Bernard Rappaz raconte pourquoi la RTS a choisi un flash spécial après T.T.C. plutôt qu'une émission en continu. Le rédacteur en chef TV de RTSinfo revient aussi sur la qualité médiocre des premières images diffusées à la télévision.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreNotre-Dame et la bulle des droits sportifs à la TV sont au sommaire de Médialogues cette semaine. Antoine Droux reçoit Catherine Rüttimann, responsable de l'iconographie au quotidien Le Temps et Bernard Rappaz, rédacteur en chef TV de RTSinfo pour le traitement de l'image dans l'incendie de la cathédrale parisienne; ainsi que Pierre Maes, qui publie aux éditions FYP "Le business des droits TV du foot, enquête sur une bulle explosive".
- Incendie de Notre-Dame: la force des imagesMardi, Le Temps se distinguait en Suisse romande en consacrant l'intégralité de sa première page à un seul sujet: l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Mercredi, ce quotidien choisissait une image décalée pour revenir sur ce sujet. Catherine Rüttimann, responsable de l'iconographie pour Le Temps détaille ces choix. De son côté, Bernard Rappaz raconte pourquoi la RTS a choisi un flash spécial après T.T.C. plutôt qu'une émission en continu. Le rédacteur en chef TV de RTSinfo revient aussi sur la qualité médiocre des premières images diffusées à la télévision.
- La bulle des droits TV du sport est-elle en train d'exploser?Le marché des droits du sport à la télévision est estimé à 50 milliards de dollars. Comment en est-on arrivé à cette folle surenchère? Dans "Le business des droits TV du foot, enquête sur une bulle explosive" (Ed. FYP), le Belge Pierre Maes raconte les coulisses d'un domaine opaque, sur lequel le public ne sait pas grand-chose, sauf… qu'il paie de plus en plus cher pour voir ses équipes favorites évoluer en direct à la télévision. Pierre Maes souligne aussi qu'après les TV privées, les TV à péage et les entreprises de télécommunications, les géants du numérique se montre extrêmement prudents dans ce domaine.