"LʹAnimal", Claude Zidi, 1977
"LʹAnimal", de Claude Zidi sort en 1977. Cʹest une comédie rythmée, bourrée de gags et de cascades, mettant en scène un Jean-Paul Belmondo au meilleur de sa forme.
Le comédien fête ses 20 ans de carrière au cinéma en jouant deux rôles: celui dʹun cascadeur doublant un acteur efféminé qui lui ressemble étrangement. A lʹécran, tout le gratin du cinéma comique de lʹépoque: Charles Gérard et Julien Guiomar, tout comme Aldo Maccione. On y trouve Claude Chabrol jouant un réalisateur et Raquel Welch la sculpturale fiancée de Bebel. Johnny Hallyday et Jane Birkin font même une incursion au début du film.
Il ne faut pas chercher de chef-dʹœuvre dans ces 90 minutes de cascades liées entre-elles par le fil dʹune histoire dʹamour mal partie qui se termine tout de même par un mariage, pimentée de quiproquos amusants. "LʹAnimal", cʹest du Vaudeville à la mode seventies. Ça a un peu vieillit, mais ça raconte une époque: celle où le cinéma pouvait se permettre dʹêtre relativement décomplexé, jouant des codes du film dʹaventure, mettant en scène principalement un comédien qui nʹa dʹautre ambition que de se faire plaisir et de nous faire rire.
La musique est de Vladimir Cosma et les dialogues ciselés de Michel Audiard.
Nous avons des anecdotes, des extraits, et beaucoup dʹacrobaties à raconter. Et pour réaliser tout ça, il faut dʹabord nous échauffer pour pouvoir sauter, rouler en bas des escaliers, faire le singe, nous accrocher aux lustres et tomber dʹun avion.
Le comédien fête ses 20 ans de carrière au cinéma en jouant deux rôles: celui dʹun cascadeur doublant un acteur efféminé qui lui ressemble étrangement. A lʹécran, tout le gratin du cinéma comique de lʹépoque: Charles Gérard et Julien Guiomar, tout comme Aldo Maccione. On y trouve Claude Chabrol jouant un réalisateur et Raquel Welch la sculpturale fiancée de Bebel. Johnny Hallyday et Jane Birkin font même une incursion au début du film.
Il ne faut pas chercher de chef-dʹœuvre dans ces 90 minutes de cascades liées entre-elles par le fil dʹune histoire dʹamour mal partie qui se termine tout de même par un mariage, pimentée de quiproquos amusants. "LʹAnimal", cʹest du Vaudeville à la mode seventies. Ça a un peu vieillit, mais ça raconte une époque: celle où le cinéma pouvait se permettre dʹêtre relativement décomplexé, jouant des codes du film dʹaventure, mettant en scène principalement un comédien qui nʹa dʹautre ambition que de se faire plaisir et de nous faire rire.
La musique est de Vladimir Cosma et les dialogues ciselés de Michel Audiard.
Nous avons des anecdotes, des extraits, et beaucoup dʹacrobaties à raconter. Et pour réaliser tout ça, il faut dʹabord nous échauffer pour pouvoir sauter, rouler en bas des escaliers, faire le singe, nous accrocher aux lustres et tomber dʹun avion.