![Le silence en pleine ville et des voies royales pour cyclistes et piétons. Tout le monde sʹen souvient des effets secondaires du semi-confinement de mars-avril-mai. Quʹen est-il depuis le déconfinement du 11 mai? Le trafic a certes repris, mais dans quelles proportions? Y aura-t-il un "après-Covid " en matière de mobilité vélo?
Analyse des compteurs en ville de Genève avec Franco Tufo, ingénieur transports et enseignant à lʹEPFL et à lʹHEPIA, la haute école du paysage, de lʹingénierie et dʹarchitecture de Genève et Directeur général, de Citec groupe, sociétés spécialisées dans le domaine de la mobilité. [RTS - Frédérique Volery]](https://img.rts.ch/emissions/on-en-parle/2020/image/tw715n-25952524.image?w=640&h=640 "Le silence en pleine ville et des voies royales pour cyclistes et piétons. Tout le monde sʹen souvient des effets secondaires du semi-confinement de mars-avril-mai. Quʹen est-il depuis le déconfinement du 11 mai? Le trafic a certes repris, mais dans quelles proportions? Y aura-t-il un \"après-Covid \" en matière de mobilité vélo?
Analyse des compteurs en ville de Genève avec Franco Tufo, ingénieur transports et enseignant à lʹEPFL et à lʹHEPIA, la haute école du paysage, de lʹingénierie et dʹarchitecture de Genève et Directeur général, de Citec groupe, sociétés spécialisées dans le domaine de la mobilité. [RTS - Frédérique Volery]")
Dossier mobilité 2/2: Mobilité post-Covid, voie royale pour la petite reine
Le silence en pleine ville et des voies royales pour cyclistes et piétons. Tout le monde sʹen souvient des effets secondaires du semi-confinement de mars-avril-mai. Quʹen est-il depuis le déconfinement du 11 mai? Le trafic a certes repris, mais dans quelles proportions? Y aura-t-il un " après-Covid " en matière de mobilité vélo?
Analyse des compteurs en ville de Genève avec Franco Tufo, ingénieur transports et enseignant à lʹEPFL et à lʹHEPIA, la haute école du paysage, de lʹingénierie et dʹarchitecture de Genève et Directeur général, de Citec groupe, sociétés spécialisées dans le domaine de la mobilité.
Analyse des compteurs en ville de Genève avec Franco Tufo, ingénieur transports et enseignant à lʹEPFL et à lʹHEPIA, la haute école du paysage, de lʹingénierie et dʹarchitecture de Genève et Directeur général, de Citec groupe, sociétés spécialisées dans le domaine de la mobilité.
![Logo On en parle [RTS - RTS]](https://img.rts.ch/articles/2021/image/o92xa-25866664.image?w=640&h=640 "Logo On en parle [RTS - RTS]")
Dossier mobilité 2/2: Mobilité post-Covid, voie royale pour la petite reine
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAssurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien.
- Dossier mobilité 2/2: Mobilité post-Covid, voie royale pour la petite reineLe silence en pleine ville et des voies royales pour cyclistes et piétons. Tout le monde sʹen souvient des effets secondaires du semi-confinement de mars-avril-mai. Quʹen est-il depuis le déconfinement du 11 mai? Le trafic a certes repris, mais dans quelles proportions? Y aura-t-il un " après-Covid " en matière de mobilité vélo?
Analyse des compteurs en ville de Genève avec Franco Tufo, ingénieur transports et enseignant à lʹEPFL et à lʹHEPIA, la haute école du paysage, de lʹingénierie et dʹarchitecture de Genève et Directeur général, de Citec groupe, sociétés spécialisées dans le domaine de la mobilité. - Dossier mobilité 2/2: Bulle est la ville suisse où les pendulaires optent le plus pour la voitureEn Suisse, un pendulaire sur deux utilise un moyen de transport motorisé individuel - essentiellement la voiture - tandis quʹun tiers opte pour les transports publics. Mais on constate de grandes disparités entre les villes : Bulle recense trois-quarts de pendulaires qui privilégient la voiture ou les deux-roues, alors que les transports publics sont privilégiés à Zurich par ceux qui vont à leur travail (64%).
Par Jérôme Zimmermann, avec la réaction de Jacques Morand, syndic de Bulle. - Attendre pour consommer: comment nos habitudes ont changéNous avions pour habitude dʹassocier la file dʹattente à la rareté, pour obtenir le dernier produit en vogue ou le billet de concert de ses rêves. Mais avec la crise du coronavirus, faire la queue nʹa plus rien dʹexceptionnel. Au contraire, patienter pour sʹacheter du pain ou bénéficier dʹun service fait désormais partie de notre quotidien. Et ceci en dit long sur notre manière de consommer.
Entretien avec Fanny Parise, anthropologue et spécialiste de la consommation à lʹUniversité de Lausanne. Par Marie Tschumi - Une app qui traque les trop longues files dʹattenteEt si la gestion des files dʹattente passait par la technologie ? En pleine pandémie, quatre étudiants de lʹUniversité de Genève ont créé une application, SmartQ, donnant des informations en temps réel sur lʹétat de lʹattente devant les commerces, les restaurants…
Le projet est encore embryonnaire mais Marc Heimendinger, cocréateur du projet, est convaincu que les files dʹattente sont une mine dʹor sous-exploitée. Il explique dans " On en parle " quelles sont les pistes à développer.
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![En Suisse, un pendulaire sur deux utilise un moyen de transport motorisé individuel - essentiellement la voiture - tandis quʹun tiers opte pour les transports publics. Mais on constate de grandes disparités entre les villes : Bulle recense trois-quarts de pendulaires qui privilégient la voiture ou les deux-roues, alors que les transports publics sont privilégiés à Zurich par ceux qui vont à leur travail (64%). [Depositphotos - Madrabothair]](https://img.rts.ch/emissions/on-en-parle/2020/image/5oj26j-25954626.image?w=320&h=320 "En Suisse, un pendulaire sur deux utilise un moyen de transport motorisé individuel - essentiellement la voiture - tandis quʹun tiers opte pour les transports publics. Mais on constate de grandes disparités entre les villes : Bulle recense trois-quarts de pendulaires qui privilégient la voiture ou les deux-roues, alors que les transports publics sont privilégiés à Zurich par ceux qui vont à leur travail (64%). [Depositphotos - Madrabothair]")
![Nous avions pour habitude dʹassocier la file dʹattente à la rareté, pour obtenir le dernier produit en vogue ou le billet de concert de ses rêves. Mais avec la crise du coronavirus, faire la queue nʹa plus rien dʹexceptionnel. Au contraire, patienter pour sʹacheter du pain ou bénéficier dʹun service fait désormais partie de notre quotidien. Et ceci en dit long sur notre manière de consommer. [Keystone - ALESSANDRO DELLA VALLE]](https://img.rts.ch/emissions/on-en-parle/2020/image/647nvo-25955316.image?w=320&h=320 "Nous avions pour habitude dʹassocier la file dʹattente à la rareté, pour obtenir le dernier produit en vogue ou le billet de concert de ses rêves. Mais avec la crise du coronavirus, faire la queue nʹa plus rien dʹexceptionnel. Au contraire, patienter pour sʹacheter du pain ou bénéficier dʹun service fait désormais partie de notre quotidien. Et ceci en dit long sur notre manière de consommer. [Keystone - ALESSANDRO DELLA VALLE]")
![Et si la gestion des files dʹattente passait par la technologie ? En pleine pandémie, quatre étudiants de lʹUniversité de Genève ont créé une application, SmartQ, donnant des informations en temps réel sur lʹétat de lʹattente devant les commerces, les restaurants… Le projet est encore embryonnaire mais Marc Heimendinger, cocréateur du projet, est convaincu que les files dʹattente sont une mine dʹor sous-exploitée. Il explique dans " On en parle " quelles sont les pistes à développer. [Depositphotos - FranzGustincich]](https://img.rts.ch/emissions/on-en-parle/2020/image/q595e4-25954652.image?w=320&h=320 "Et si la gestion des files dʹattente passait par la technologie ? En pleine pandémie, quatre étudiants de lʹUniversité de Genève ont créé une application, SmartQ, donnant des informations en temps réel sur lʹétat de lʹattente devant les commerces, les restaurants… Le projet est encore embryonnaire mais Marc Heimendinger, cocréateur du projet, est convaincu que les files dʹattente sont une mine dʹor sous-exploitée. Il explique dans \" On en parle \" quelles sont les pistes à développer. [Depositphotos - FranzGustincich]")