Zakaria Hashemi dans "Jonub-e Shahr-Raqābat dar Shahr", de Farrokh Ghaffari, 1958.

Le cinéma iranien (4/5)

Film de genre images de guerre

Aujourdʹhui, nous nous entretenons avec Agnès Devictor, historienne du cinéma, Maître de conférences à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, chercheure associée à l'UMR Monde iranien et indien et spécialiste du cinéma iranien.
Ainsi que Jean-Michel Frodon, journaliste, critique de cinéma, enseignant à Sciences Po Paris et à St Andrews (Ecosse). Il a notamment écrit pour Le Monde et dirigé les "Cahiers du Cinéma", il publie à présent sur Slate.fr.
Et Javad Zeiny, écrivain, cinéaste, enseignant et titulaire d'un doctorat en cinéma (Concordia University-Montréal et Université Paris7). Javad Zeiny a dix ans quand la révolution se déclenche en Iran; à quinze ans, il tourne son premier film et devient ensuite critique de cinéma pour plusieurs journaux iraniens. Neuf ans plus tard, il quitte lʹIran pour la Suisse, le Canada, les États-Unis et vit actuellement à Paris.

Photo: Zakaria Hashemi dans "Jonub-e Shahr-Raqābat dar Shahr", de Farrokh Ghaffari, 1958.
Le cinéma iranien (4/5)