Les journalistes scientifiques suisses sʹinquiètent de leur avenir
Association Suisse du Journalisme Scientifique est inquiète. Elle décrit dans une lettre ouverte publiée début juin une situation alarmante pour cette spécialité éditoriale. Selon lʹASJS, la situation économique difficile que traversent les médias menace la couverture de lʹactualité scientifique, souvent considérée comme "nice to have", agréable à avoir, mais pas indispensable. Une situation dʹautant plus préoccupante que la pandémie de COVID-19 a montré ces derniers mois lʹimportance du travail de ces journalistes spécialisés. Interview dʹHuma Khamis, vice-présidente de lʹAssociation Suisse du Journalisme Scientifique et journaliste scientifique à la RTS.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreUn producteur noir et une journaliste scientifique sont dans Médialogues cette semaine. Antoine Droux reçoit tout dʹabord Michel Ndeze, producteur à Couleur 3 et lʹune des rares personnes noires qui créer du contenu pour un média en Suisse romande. "Dynamike" livre son regard sur la place des minorités dans les rédactions. Place en deuxième partie dʹémission à Huma Khamis, vice-présidente de lʹAssociation Suisse du Journalisme Scientifique. LʹASJS qui sʹest fendu début juin dʹune lettre ouverte inquiète concernant le futur de cette spécialité éditoriale.
- Être noir et travailler pour un média suisse: témoignage de DynamikeIls sont rares les afro descendants qui créent du contenu dans les médias suisses. Dit plus crûment: quʹil sʹagisse des pages dʹun journal, des antennes radio ou TV, des signatures dʹun site web, les noirs sont très peu à être employés dans les rédactions. Avec quelques autres (notamment à 20 Minutes ou au Temps), Michel Ndeze, producteur RTS, est lʹun dʹeux. Il tient le crachoir depuis plus de 20 ans sur Couleur 3 pour plusieurs émissions, dont la dernière en date, "Pili Pili", justement consacrée aux cultures africaines. Témoignage.
. - Les journalistes scientifiques suisses sʹinquiètent de leur avenirAssociation Suisse du Journalisme Scientifique est inquiète. Elle décrit dans une lettre ouverte publiée début juin une situation alarmante pour cette spécialité éditoriale. Selon lʹASJS, la situation économique difficile que traversent les médias menace la couverture de lʹactualité scientifique, souvent considérée comme "nice to have", agréable à avoir, mais pas indispensable. Une situation dʹautant plus préoccupante que la pandémie de COVID-19 a montré ces derniers mois lʹimportance du travail de ces journalistes spécialisés. Interview dʹHuma Khamis, vice-présidente de lʹAssociation Suisse du Journalisme Scientifique et journaliste scientifique à la RTS.