Alors que les modes de consommation ont très rapidement évolué, de plus en plus de restaurateurs choisissent de livrer leurs plats via des plateformes de livraison comme Smood, Uber Eats ou Eat.ch. Mais les contrats qu'ils signent ne sont pas toujours avantageux. Pour un restaurateur, il faut compter qu'environ 30 à 40% du prix de vente de son plat sera ponctionné par la plateforme de livraison. [Keystone - Salvatore Di Nolfi]

Livraison de repas à domicile: pas toujours une bonne affaire pour les restaurateurs

Alors que les modes de consommation ont très rapidement évolué, de plus en plus de restaurateurs choisissent de livrer leurs plats via des plateformes de livraison comme Smood, Uber Eats ou Eat.ch. Mais les contrats qu'ils signent ne sont pas toujours avantageux. Pour un restaurateur, il faut compter qu'environ 30 à 40% du prix de vente de son plat sera ponctionné par la plateforme de livraison.

Enquête sur ce marché en plein boom avec Daniel Alemu, gérant des restaurants éthiopiens "Le Nil Bleu" et "La Mosaïque" à Lausanne, Kamilla Lambotte, responsable Uber Eats en Suisse et en Belgique, Vincent Schaeffer, chief new business officer chez Smood, Laurent Terlinchamp, président de la société des cafetiers restaurateurs hôteliers de Genève et Thomas Straub, professeur de management à l'UNIGE. Une chronique proposée par Ainhoa Ibarrola.
Livraison de repas à domicile: pas toujours une bonne affaire pour les restaurateurs