Visite guidée d'un labo qui crée des mini-organes humains
Des laboratoires scientifiques font pousser des organoïdes dans le but de réduire l'usage de l'expérimentation animale, mais aussi afin de mieux modéliser et comprendre certaines maladies.
Nathalie Brandberg, co-fondatrice de la start-up Sun Bioscience et chercheuse en bioingénieure à lʹÉcole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), et Matthias Lütolf, professeur à lʹInstitut interfacultaire de bioingénierie de lʹEPFL, ont ouvert les portes de leur laboratoire à Sarah Dirren.
Nathalie Brandberg, co-fondatrice de la start-up Sun Bioscience et chercheuse en bioingénieure à lʹÉcole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), et Matthias Lütolf, professeur à lʹInstitut interfacultaire de bioingénierie de lʹEPFL, ont ouvert les portes de leur laboratoire à Sarah Dirren.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreActu: La vitesse de propagation du coronavirus
Dossier: Visite guidée d'un labo qui crée des mini organes humains
Chronique:Le DTLA, un test de détection des troubles du langage - La vitesse de propagation du coronavirusDes chercheurs de l'Université de Berne ont mené une étude sur la vitesse de propagation du coronavirus. Grâce à des simulations informatiques, ils ont pu établir qu'une personne infectée par le virus infecte en moyenne deux autres personnes.
Julien Riou, épidémiologiste postdoctorant à lʹInstitut de médecine social et préventive de lʹUniversité de Berne, et co-auteur de l'étude, explique ses projections mathématiques. Un sujet de Huma Khamis. - Visite guidée d'un labo qui crée des mini-organes humainsDes laboratoires scientifiques font pousser des organoïdes dans le but de réduire l'usage de l'expérimentation animale, mais aussi afin de mieux modéliser et comprendre certaines maladies.
Nathalie Brandberg, co-fondatrice de la start-up Sun Bioscience et chercheuse en bioingénieure à lʹÉcole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), et Matthias Lütolf, professeur à lʹInstitut interfacultaire de bioingénierie de lʹEPFL, ont ouvert les portes de leur laboratoire à Sarah Dirren. - Le DTLA, un test de détection des troubles du langageUne équipe de lʹUniversité de Neuchâtel a participé à la mise au point du test DTLA. Cet examen permet de dépister les troubles du langage chez les adultes et les personnes âgées. Né sous l'impulsion de Joël Macoir, professeur à lʹUniversité de Laval au Québec, le projet réunit un collectif de spécialistes francophones provenant notamment de l'Université de Neuchâtel.
Marion Frossard, professeur à lʹInstitut des sciences logopédiques de lʹUniversité de Neuchâtel, s'exprime sur le développement du projet. Une chronique de Stéphane Délétroz.