La "smarter medicine" préconise de limiter la production de déchets, mais aussi certains actes médicaux et la surmédicalisation.
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En médecine, moins cʹest parfois mieux

Depuis quelques années sʹamorce un mouvement dans le milieu médial, celui dʹune médecine durable. La "smarter medicine" vient des Etats-Unis et préconise de limiter la production de déchets, le recours à certains actes médicaux parfois inutiles et la surmédicalisation.

On en parle avec Omar Kherad, chef du Service de médecine interne de lʹHôpital de La Tour, à Meyrin, et membre de la commission "smarter medicine" au sein de la Société suisse de médecine interne générale. Un sujet de Sarah Dirren.
En médecine, moins cʹest parfois mieux