Farel, l'insoumis qui réforma la Romandie (2/5)
Du théologien à l'organisateur.
Si la mémoire collective retient de Farel l'image d'un homme de terrain, impétueux et intransigeant, il fut aussi un théologien. Loin d'avoir laissé une somme théologique comparable à Calvin, Farel a pourtant très tôt écrit, toujours en français, certains de ses textes étant les plus anciens de la Réforme francophone.
Il œuvra d'ailleurs à l'impression de la première Bible en français, dite Bible d'Olivetan – après avoir fait s'installer l'imprimeur Pierre de Vingle à Neuchâtel – une Bible entièrement financée par les Vaudois du Piémont, que Farel, a fait adhérer au mouvement de la Réforme lors du synode de Chanforan (1532).
Avec Pierre-Olivier Léchot, Olivier Labarthe et un extrait d'archive avec Edouard Urech.
Si la mémoire collective retient de Farel l'image d'un homme de terrain, impétueux et intransigeant, il fut aussi un théologien. Loin d'avoir laissé une somme théologique comparable à Calvin, Farel a pourtant très tôt écrit, toujours en français, certains de ses textes étant les plus anciens de la Réforme francophone.
Il œuvra d'ailleurs à l'impression de la première Bible en français, dite Bible d'Olivetan – après avoir fait s'installer l'imprimeur Pierre de Vingle à Neuchâtel – une Bible entièrement financée par les Vaudois du Piémont, que Farel, a fait adhérer au mouvement de la Réforme lors du synode de Chanforan (1532).
Avec Pierre-Olivier Léchot, Olivier Labarthe et un extrait d'archive avec Edouard Urech.