Les ambitions de la Weltwoche selon Roger Köppel
Le journaliste et conseiller national Roger Köppel (UDC/ZH) vient de rajouter une ligne à sa carte de visite. Il est désormais président du Conseil dʹadministration de la Weltwoche, une publication dont il est déjà propriétaire, rédacteur en chef et éditeur. Un changement qui doit servir la future stratégie digitale de lʹhebdomadaire alémanique. Interrogé par Antoine Droux, Roger Köppel livre dans Médialogues ce qui le guide pour son journal. Il porte aussi un regard très critique sur le monde médiatique suisse, bien trop à gauche selon lui.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreLa Weltwoche et le livre "La guerre des idées" sont au programme de Médialogues cette semaine. Antoine Droux reçoit tout dʹabord Roger Köppel, rédacteur en chef, éditeur, propriétaire et, depuis peu, président du conseil dʹadministration de lʹhebdomadaire zurichois. Place en deuxième partie dʹémission à la journaliste des pages débat du quotidien français "Le Figaro" Eugénie Bastié. Elles signe "La guerre des idées" aux éditions Robert Laffont
- Les ambitions de la Weltwoche selon Roger KöppelLe journaliste et conseiller national Roger Köppel (UDC/ZH) vient de rajouter une ligne à sa carte de visite. Il est désormais président du Conseil dʹadministration de la Weltwoche, une publication dont il est déjà propriétaire, rédacteur en chef et éditeur. Un changement qui doit servir la future stratégie digitale de lʹhebdomadaire alémanique. Interrogé par Antoine Droux, Roger Köppel livre dans Médialogues ce qui le guide pour son journal. Il porte aussi un regard très critique sur le monde médiatique suisse, bien trop à gauche selon lui.
- Mais qui a gagné "La guerre des idées"?Réactionnaire, gauchiste, libéral: chaque camp estime que cʹest lʹautre qui a réussi à imposer son point de vue. Un constat qui interpelle Eugénie Bastié, journaliste aux pages débat du quotidien français "Le Figaro". Elle signe chez Robert Laffont "La guerre des idées. Enquête au cœur de lʹintelligentsia française." Mais au-delà des spécificités de nos voisins de lʹHexagone, au-delà de la tyrannie émotionnelle des réseaux sociaux, elle estime au micro dʹAntoine Droux que cʹest bel et bien lʹavenir de la liberté dʹexpression en Occident qui se joue sur ce champ de bataille des idées, là où le débat sʹest transformé en combat.