Maurine Mercier, reporter de guerre en Libye
Maurine Mercier couvrira sur place en décembre 2021 et janvier 2022 les élections libyennes. Enfin... si elles ont lieu. Enfin... si elles ont lieu ET quʹelle obtient ses visas, lʹun pour lʹest, lʹautre pour lʹouest du pays. Interrogée par Antoine Droux, la correspondante de la RTS pour lʹAfrique du Nord installée à Tunis raconte les coulisses de ses reportages en zones de guerre. Des reportages quʹentendent également les publics de Radio France, de la RTBF et de TV5 Monde. Un métier périlleux, en terrain hostile, dans un trou noir médiatique, mais un métier quʹelle juge primordial pour donner une voix au peuple libyen.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreReporter de guerre en Libye et prise de parole au féminin sont au programme de Médialogues cette semaine. Antoine Droux reçoit tout d'abord Maurine Mercier. Correspondante en Afrique du Nord pour la RTS et d'autres médias francophones, la journaliste raconte son métier, notamment sur le théâtre des opérations libyen. Place en deuxième partie d'émission à Myret Zaki et Romaine Jean. Les deux journalistes et formatrices détaillent les enjeux de leur "stage de prise de parole au féminin", une formation qu'elles donnent au CFJM, le Centre de Formation au Journalisme et aux Médias, à Lausanne.
- Maurine Mercier, reporter de guerre en LibyeMaurine Mercier couvrira sur place en décembre 2021 et janvier 2022 les élections libyennes. Enfin... si elles ont lieu. Enfin... si elles ont lieu ET quʹelle obtient ses visas, lʹun pour lʹest, lʹautre pour lʹouest du pays. Interrogée par Antoine Droux, la correspondante de la RTS pour lʹAfrique du Nord installée à Tunis raconte les coulisses de ses reportages en zones de guerre. Des reportages quʹentendent également les publics de Radio France, de la RTBF et de TV5 Monde. Un métier périlleux, en terrain hostile, dans un trou noir médiatique, mais un métier quʹelle juge primordial pour donner une voix au peuple libyen.
- Un stage pour doper la prise de parole au fémininLes femmes nʹont pas assez la parole, ni dans les médias, ni dans lʹespace public, ni non plus dans le milieu professionnel. Ce constat de Myret Zaki et de Romaine Jean les a poussées à mettre sur pied une formation de deux jours au CFJM, le Centre de Formation au Journalisme et aux Médias, à Lausanne. Dans Médialogues, les deux journalistes détaillent à Antoine Droux le contenu de cet atelier baptisé sobrement "Stage de prise de parole au féminin".