Fatima Ezarouni et Sophie Pirson [AFP - Kenzo Triboullard]

Point de fuite: Bruxelles: comment retisser du lien après les attentats?

Le 22 mars 2016 des bombes explosent à Bruxelles. Lʹaéroport de Zaventem puis la station de métro Maelbeek sont visées. 32 personnes perdent la vie, 340 autres sont blessées. Ces attentats surviennent 4 mois après ceux de Paris. Né en 2018 de ces tragédies, le groupe ʹʹRetissons du lien: penser ensemble pour agir en communʹʹ réuni des personnes endeuillées ou rescapées de ces attentats, des parents de jeunes parti·e·s en Syrie, ainsi que des professionnel·le·s confronté·e·s au phénomène de radicalisation violente. Le besoin initial du groupe était de comprendre et de poser une réflexion sur ce qui leur était arrivé. Au fil des rencontres, du lien social se retisse, un dialogue se noue et quelques amitiés voient le jour. Comme entre Fatima Ezarouni, dont le fils est parti en Syrie et Sophie Pirson, dont la fille a été blessée lors des attentats de 2016.
Reportage: Françoise Wallemacq de la RTBF
Réalisation: Arnaud Verniers de la RTBF
A lire: ʹʹLe printemps cʹétait hierʹʹ de Sophie Pirson ndekeuken.org/?Le-printemps-c-etait-hier
Production: Muriel Mérat & Christophe Canut
Photo: Fatima Ezarouni (g), dont le fils est parti en Syrie et Sophie Pirson (dr), dont la fille a été blessée lors des attentats de 2016
Point de fuite: Bruxelles: comment retisser du lien après les attentats?