Antoine Jaccoud, la liberté de lʹécriture 1/5
Cʹest lʹun des scénaristes et dramaturges romands les plus prolixes. Né en 1957 à Lausanne, Antoine Jaccoud est passé maître dans lʹart de la narration. Après avoir rêvé de devenir chanteur, étudié la sociologie et œuvré comme critique de cinéma pour LʹHebdo, il se lance dans lʹapprentissage, puis lʹenseignement du scénario. Plume récurrente des films dʹUrsula Meier, il a aussi signé plusieurs pièces de théâtre, dont "Je suis le mari de Lolo". Rencontre avec un homme perfectionniste et angoissé.
Programme musical
- Elmer Bernstein Les Sept mercenaires. Suite de la musique de film, pour orchestre: The Magnificent Seven, Suite Howard Griffiths, Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt an der Oder / klanglogo
- Nikolay Karlovich Medtner Concerto pour piano et orchestre, no 2, en ut mineur: 1. Toccata. Allegro risoluto North Carolina Symphony, Grant Llewellyn, Yevgeny Sudbin / BIS
- Franz Liszt Rhapsodies hongroises, pour piano. Version pour orchestre: 2. En ut dièse mineur Leopold Stokowski, RCA Orchestra, New York, NY / RCA Victor Gold Seal
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreCʹest lʹun des scénaristes et dramaturges romands les plus prolixes. Né en 1957 à Lausanne, Antoine Jaccoud est passé maître dans lʹart de la narration. Après avoir rêvé de devenir chanteur, étudié la sociologie et œuvré comme critique de cinéma pour LʹHebdo, il se lance dans lʹapprentissage, puis lʹenseignement du scénario. Plume récurrente des films dʹUrsula Meier, il a aussi signé plusieurs pièces de théâtre, dont "Je suis le mari de Lolo". Rencontre avec un homme perfectionniste et angoissé.
- L'entretien d'Antoine Jaccoud 1 : Faire au lieu de critiquerElevé dans un milieu populaire, Antoine Jaccoud hérite du sens de lʹobservation de son père et du sens du drame venant de sa mère. Il sʹamuse dʹabord à imiter les autres, rêve dʹêtre chanteur, avant de sʹintéresser, adolescent, au marxisme et à lʹanarchie. Il se lance dans lʹapprentissage du scénario de films après sʹêtre fait insulter par Michel Soutter, suite à une critique assassine publiée dans LʹHebdo, le journal pour lequel il travaille dans les années 1980.