L’installation "Gleaming lights of the souls" traversée par Muriel Imbach : hors de l’espace-temps
Née en 1929 au Japon, la plasticienne, sculptrice, vidéaste et performeuse Yayoi Kusama est, aujourd’hui, une légende de l’art contemporain. Hantée, depuis son enfance, par des hallucinations qui prennent la forme de « polka dots » (des pois), elle exorcise ses visions en les répliquant sur des murs, des toiles, des corps et les fameuses installations « Infinity Rooms ». Recouvertes de miroirs dans lesquels des petites lumières se reflètent à l’infini, ces installations brouillent les notions d’espace et de temporalité, emmenant les visiteurs dans un univers fantastique, aussi beau qu’inquiétant.
Fascinée par “Gleaming lights of the souls”, l’une des "Infinity Rooms" de Yayoi Kusama, la metteuse en scène romande Muriel Imbach évoque le sentiment océanique qu’elle ressent quand elle pénètre dans cette installation, conservée au Musée d’art moderne Louisiana, au Danemark.
Fascinée par “Gleaming lights of the souls”, l’une des "Infinity Rooms" de Yayoi Kusama, la metteuse en scène romande Muriel Imbach évoque le sentiment océanique qu’elle ressent quand elle pénètre dans cette installation, conservée au Musée d’art moderne Louisiana, au Danemark.