«Le Sacre du printemps» écouté par Florian Favre : pulsation, scandale et révolution
Créé à Paris en 1913, « Le Sacre du printemps », d’Igor Stravinsky, a révolutionné l’histoire de la musique, déclenchant, au passage, un extraordinaire scandale artistique. Inspiré par des cérémonies de « l’ancienne Russie », Stravinsky pulvérise les codes de l’écriture musicale : en supprimant le développement mélodique pour se concentrer sur le rythme, il compose une œuvre d’une puissance inouïe qui continue à fasciner auditeur.ice.s et artistes.
Pour le pianiste de jazz fribourgeois Florian Favre, le «Sacre du printemps» s’écoute, parfois, comme «un film d’Hitchcock». Fasciné par son intensité, il reprend et réarrange des passages d’une partition qui électrise aussi bien le public d’une salle de concert que les aficionados de techno.
Pour le pianiste de jazz fribourgeois Florian Favre, le «Sacre du printemps» s’écoute, parfois, comme «un film d’Hitchcock». Fasciné par son intensité, il reprend et réarrange des passages d’une partition qui électrise aussi bien le public d’une salle de concert que les aficionados de techno.