Samedi chez vous - André Keiser, taxidermiste
Gilles Wenger nous emmène à Lausanne, au Palais de Rumine, à la rencontre d'André Keiser, qui travaille comme taxidermiste pour le musée de zoologie depuis 32 ans.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- L'instant culteSʹil ne fallait retenir quʹun instant cette semaine sur La Première, cʹest celui-ci.
- L'archive - La star des défilés, le mannequin Bettina en 1951Cette semaine Véronique Raboud, notre archiviste, fait dans le bling bling et le charme. Muse des couturiers comme Jacques Fath et Givenchy, elle nous présente Bettina, star des défilés de mode des années 50 et 60 et égérie des grands photographes internationaux comme Cartier-Bresson, Irving Penn ou encore Robert Doisneau. Claude Mairé lʹinterviewe pour Radio-Lausanne en 1951.
- VQ - Accoucher par soi-mêmeCindy Favarger a choisi de donner naissance sans assistance, dans lʹintimité du cocon familial. Pauline Seiterle va à sa rencontre et tente de comprendre comment ce projet a muri et comment une mère et un père se préparent à accueillir un enfant en totale autonomie.
- 15 Minutes - Valentin Tanner, membre de lʹéquipe suisse de curling côté pile et barman côté faceCertains athlètes présents aux Jeux Olympiques ont un job dʹappoint pour arrondir les fins de mois. Cʹest le cas notamment pour des sports qui ont un peu moins de visibilité. 15 Minutes a suivi le curleur Valentin Tanner, qui travaille aussi parfois comme serveur dans un "sauna coquin" à Genève.
- La pépite - "This is the Day" de MourahNotre programmateur Bastien Arnold nous propose le joli retour de Mourah, de lʹélectro pop et un troisième opus sorti le 28 janvier 2022. Enfin ! "This is the Day" est extrait dʹune composition produite quelques mois avant que le monde ne soit frappé par la pandémie.
- Le journal des sportsPar Jean-Philippe Rutz.
- Tournez la page - Gerd Brantenberg, "Les filles dʹÉgalie" (Ed. Zulma)Une société dirigée par les femmes, dans laquelle les hommes sont le sexe opprimé: cette utopie féministe cocasse a été imaginée par la Norvégienne Gerd Brantenberg il y a 45 ans. Une parodie qui décrit des hommes au foyer avec leurs bigoudis et leurs soutiens-verge, des femmes marines-pêcheuses qui sʹenivrent dans les bars des ports où elles font escale. Lʹautrice a féminisé lʹécriture de son roman avec une radicalité et une inventivité qui déboussolent les lectrices et lecteurs autant quʹelles les divertissent. Par Geneviève Bridel
- Ecrans - " La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre"Etre témoin dʹun meurtre caché.e derrière sa fenêtre est devenu un genre cinématographique en soi. La série parodique "La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre" (Netflix) a comblé Pascal Bernheim.
- Lʹinvité - La cantine est-elle un lieu de lutte?La restauration collective constitue un "fait social total", une activité qui implique directement toutes les dimensions de la société: sanitaire, économique, juridique, culturelle, religieuse, etc. Pourtant, si la "haute cuisine" et lʹidée dʹ"art gastronomique" dans la restauration commerciale ou dans le cercle domestique nʹont probablement jamais été aussi valorisées et mises en spectacle quʹaujourdʹhui, la restauration collective semble être condamnée à la médiocrité et à un anonymat un peu honteux. Le sociologue Marc Perrenoud signe aux éditions du Croquant un essai sur la question avec le chef Pierre Yves Rommelaere.
Invité: Marc Perrenoud
Journaliste: Jérôme Zimmermann - La revue de presseLa société suisse vue et lue à travers la presse romande et alémanique. Par Sandra Zimmerli
- 180 degrés - De lʹuniforme au caquelonAprès 15 ans de service, Didier Oberson quitte le groupe des motocyclistes de la Police de Lausanne pour entamer des études en marketing. Grâce à ce projet mené de concert avec son épouse Sylvie, Didier ambitionne de devenir son propre patron et dʹavoir ainsi plus de temps pour sa famille. Passionné par les produits du terroir fribourgeois, ce Gruérien de 46 ans développe depuis 2015 sa propre marque de mélange à fondue. Didier Oberson raconte ce changement dʹorientation au micro de Théo Chavaillaz.
- Les Autres - 2021 en dessins de presse à BerneCette semaine, notre correspondante Angela Wagner nous emmène au Musée de la communication à Berne pour une expo qui se tiendra jusquʹà la mi-février 2022 autour du dessin de presse. Une rétrospective nationale de lʹannée 2021.
- Au goût du jour - L'île flottanteC'est un dessert qui rappelle l'enfance, mais que les adultes adorent. L'île flottante. Sa version contemporaine est très similaire aux œufs à la neige, mais n'a quasiment rien à voir avec l'omelette norvégienne. Réaliser une île flottante avec une crème anglaise permet aussi d'utiliser nos excédents de blancs d'œufs. Une chronique de Pierre-Etienne Joye.
Recette de l'île flottante
Ingrédients pour 4 personnes
Pour les œufs à la neige: 8 blancs d'œufs, 125 g de sucre en poudre, une pincée de sel, une cuillère à café de jus de citron.
Pour la crème anglaise: 8 jaunes d'œufs, 125 g de sucre en poudre, 1/2 litre de lait, une gousse de vanille.
Pour la garniture: sauce caramel ou sirop d'érable, amandes effilées, pistaches concassées, éventuellement pralines écrasées.
Procédé
Dans un récipient pour robot-batteur ou pour fouet électrique, mettre les blancs dʹœufs avec une petite pincée de sel et le jus de citron. Monter les blancs en neige. Ajouter le sucre progressivement. Lorsqu'ils sont fermes, huiler légèrement des bols de ménage et les remplir à ras, en tassant et en lissant. Mettre un bol à la fois au micro-onde et laisser cuire 30 secondes à pleine puissance. Démouler et laisser reposer au frais. La crème anglaise se bat au fouet ou au robot avec un mélange sucre-jaunes d'œufs, puis elle est montée en fouettant à feu très doux au lait chaud avec une gousse de vanille fendue en deux. Laisser refroidir, puis couler dans des assiettes creuses en y déposant les blancs d'œufs en neige moulés. Napper de sauce et parsemer de garniture. - Samedi chez vous - André Keiser, taxidermisteGilles Wenger nous emmène à Lausanne, au Palais de Rumine, à la rencontre d'André Keiser, qui travaille comme taxidermiste pour le musée de zoologie depuis 32 ans.