Liste noire

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Le mot "censure" trouve son origine dans une institution de la Rome antique. Les "censeurs" étaient des magistrats ayant pour rôle de répartir en différentes classes les citoyens en fonction de leurs mœurs. Un examen fait au nom de Dieu. La censure a donc une origine religieuse, pas étonnant que des siècles durant, tous types de propos contre la religion furent censurée et leurs auteurs condamnés. Dieu merci, aujourdʹhui, nous ne dirons point de mal des religions, nous nous contenterons dʹécouter des chansons censurées pour blasphème.

Extrait de la programmation musicale :
Véronique Sanson : Allah.
Johnny Halliday : Jésus Christ.
Murray Head : One night in Bangkok.
Jimi Hendrix : Bold as love.
Black M : Dans ma rue.

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Plus quʹun simple genre musical, le Rock est le symbole dʹune soif dʹémancipation, de différenciation. Accusé de satanisme, dʹêtre la musique du diable, il a pourtant souvent prôné lʹamour. Rebelle, instinctivement désobéissant et spontané, il est lʹesthétique dʹopposition par excellence. De quoi inquiéter lʹordre établit qui nʹaspire quʹau respect de la tradition et à lʹimmobilisme.

Extrait de la programmation musicale :
Chuck Berry : Maybelene.
The Rolling Stones : Satisfaction.
The Beatles : Lucy in the sky with diamonds.
Trust : Antisocial.
The Cure : Killing an Arab.

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Le Rap est une musique contestataire, de dénonciation. Elle se veut une réponse aux oppressions sociales des plus défavorisés. Cʹest parce quʹelle crie sa révolte de manière si violente et directe, que la censure, sʹest fait un devoir, dès que possible, de lʹinterdire.
Voici un épisode de LISTE NOIRE à ne pas mettre entre toutes les oreilles, certaines paroles de chansons pouvant choquer les plus sensibles...

Extrait de la programmation musicale :
M.W.A : Fuck the police.
Eminen : Kim.
Kaotik 747 : #projet 18.
Sarah Jones : Your révolution.
The 2 live crew : Banned in the USA.

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Si, dans lʹimagination collective, on associe logiquement la marijuana à la musique reggae mais aussi au jazz et au folk, à chaque genre musical correspond sa drogue.
Et certains artistes se sont fait un devoir de chanter ses vertus, soit en en demandant sa légalisation, soit en incitant à sa consommation. Pour ce dernier épisode de LISTE NOIRE, nous parlons de ganja, de cocaïne, dʹacide, dʹhéroïne, de kétamine et même... de champignons hallucinogènes !

Extrait de la programmation musicale :
Peter Tosh : Legalized it.
The Byrds: Eight miles high.
Alain Kan: Speed my speed.
Billy ze Kick et les gamins en folie : Mangez-moi, mangez-moi !
Placebo : Special K.

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Au programme du jour, il est question de prostitution, de jeunes filles vierges, de lʹéloge de la monogamie, de relations sadomasochistes, de vibromasseur, de sodomie, de sexe oral, mais aussi dʹamour. Alors mettez-vous à lʹaise, et laissez-vous porter par cette luxuriante LISTE NOIRE des chansons les plus évocatrices de … la chose.
Extrait de la programmation musicale :
George Michael : I want your sex.
Magalie Noël : Fais-moi mal Johnny.
Donovan : Mellow Yellow.
Donna Summer : Love to love me baby.
Serge Gainsbourg et Brigitte Bardot : Je tʹaime, moi non plus.

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Si, dans lʹimagination collective, on associe logiquement la marijuana à la musique reggae mais aussi au jazz et au folk, à chaque genre musical correspond sa drogue.
Et certains artistes se sont fait un devoir de chanter ses vertus, soit en en demandant sa légalisation, soit en incitant à sa consommation. Pour ce dernier épisode de LISTE NOIRE, nous parlons de ganja, de cocaïne, dʹacide, dʹhéroïne, de kétamine et même... de champignons hallucinogènes !

Extrait de la programmation musicale :
Peter Tosh : Legalized it.
The Byrds: Eight miles high.
Alain Kan: Speed my speed.
Billy ze Kick et les gamins en folie : Mangez-moi, mangez-moi !
Placebo : Special K.