Invisible mais dévastatrice : la violence psychologique
Selon l'étude de l'Agence européenne pour les droits fondamentaux (FRA, 2014), plus de 40% des femmes en Europe sont concernées par des expériences de violence psychologique et 20% des femmes ont été harcelées au moins une fois dans leur vie. Pour mettre en lumière cette terreur invisible, la campagne "16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre* démarre le 25 novembre, journée internationale contre la violence à l’égard des femmes.
Comment la détecter? Qui est concerné? Où trouver de l’aide?
Isabelle Fiaux reçoit Johanne Carron, éducatrice sociale et coordinatrice de la fondation "l’EssentiElles" en Valais.
Comment la détecter? Qui est concerné? Où trouver de l’aide?
Isabelle Fiaux reçoit Johanne Carron, éducatrice sociale et coordinatrice de la fondation "l’EssentiElles" en Valais.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAssurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien.
- Invisible mais dévastatrice : la violence psychologiqueSelon l'étude de l'Agence européenne pour les droits fondamentaux (FRA, 2014), plus de 40% des femmes en Europe sont concernées par des expériences de violence psychologique et 20% des femmes ont été harcelées au moins une fois dans leur vie. Pour mettre en lumière cette terreur invisible, la campagne "16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre* démarre le 25 novembre, journée internationale contre la violence à l’égard des femmes.
Comment la détecter? Qui est concerné? Où trouver de l’aide?
Isabelle Fiaux reçoit Johanne Carron, éducatrice sociale et coordinatrice de la fondation "l’EssentiElles" en Valais. - Deuxième serviceXavier Bloch revient sur vos réactions à nos sujets de la semaine. Au programme, la vie avec des proches ayant une addiction, les accès pour personnes à mobilité réduite, les maladies hivernales, l'épuisement des jeunes en formation et le Black Friday.
- Guichet: la betterave, avec Benoît Carcenat et Tania BrasseurLa betterave est parfois mal-aimée, souvent sous-estimée et reléguée à son rôle de salade de "racines rouges" cuites, que l’on mange en cette saison de St-Martin avec du boudin ou des atriaux. C’est bon, mais on peut aller plus loin, beaucoup plus loin, puisque la betterave est souvent subtile et toujours polyvalente. Mixée en purée dans un houmous, râpée crue sur une salade fraîche, dans une sauce pour du saumon, au détour d’un fromage de chèvre, avec des coquillages ou de la truffe blanche, elle est parfaite!
Antoine Droux a invité Benoît Carcenat, chef de la Table du Valrose à Rougemont (18/20 Gault Millau et 2 étoiles Michelin), ainsi que Tania Brasseur, autrice culinaire et membre de Slowfood suisse.