Journées mondiales de la schizophrénie: pour en finir avec les idées reçues
Pour leurs 20 ans, les Journées de la schizophrénie auront lieu du 18 au 25 mars 2023 dans une dizaine de pays francophones.
L'enjeu de cette semaine "évènement": déconstruire les stéréotypes autour de la schizophrénie, un trouble mental multiforme dont sont atteintes près de 24 millions de personnes dans le monde, dont 85'000 Suisses, qui survient généralement entre 15 et 25 ans.
Arditë Shabani rencontre Jules, un jeune papa atteint de schizophrénie et Jean-Christophe Leroy, directeur de l’association PositiveMinders à l'origine des Journées de la schizophrénie.
L'enjeu de cette semaine "évènement": déconstruire les stéréotypes autour de la schizophrénie, un trouble mental multiforme dont sont atteintes près de 24 millions de personnes dans le monde, dont 85'000 Suisses, qui survient généralement entre 15 et 25 ans.
Arditë Shabani rencontre Jules, un jeune papa atteint de schizophrénie et Jean-Christophe Leroy, directeur de l’association PositiveMinders à l'origine des Journées de la schizophrénie.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAssurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien.
- Journées mondiales de la schizophrénie: pour en finir avec les idées reçuesPour leurs 20 ans, les Journées de la schizophrénie auront lieu du 18 au 25 mars 2023 dans une dizaine de pays francophones.
L'enjeu de cette semaine "évènement": déconstruire les stéréotypes autour de la schizophrénie, un trouble mental multiforme dont sont atteintes près de 24 millions de personnes dans le monde, dont 85'000 Suisses, qui survient généralement entre 15 et 25 ans.
Arditë Shabani rencontre Jules, un jeune papa atteint de schizophrénie et Jean-Christophe Leroy, directeur de l’association PositiveMinders à l'origine des Journées de la schizophrénie. - Né.es grâce à un don de spermeEn Suisse, près de 300 enfants naissent chaque année grâce à une insémination artificielle avec don de sperme. Si pendant longtemps cette réalité a été taboue, le corps médical incitant les parents à taire la vérité à leurs enfants, aujourd’hui le droit aux origines pour les personnes issues d’un don prime sur le droit à l’anonymat des donneurs.
Comment s’y prendre pour avoir accès à ces informations? Pourquoi est-il primordial pour une personne née d’un don de connaitre ses origines? Et comment s’y prendre pour raconter l’histoire de sa conception à son enfant?
Laure de Jonckheere, sexologue, conseillère en santé sexuelle et reproductive au centre de fertilité CPMA Lausanne, est l'invitée de Muriel Mérat.
Avec les témoignages de Steph et Nicolas, deux Suisses nés par dons de sperme.