“Laissez-moi”, premier long métrage du réalisateur genevois Maxime Rappaz.
Pour son premier long métrage, “Laissez-moi”, le Genevois Maxime Rappaz a les honneurs du Festival de Cannes dans une section parallèle baptisée L'ACID, aux côtés de huit autres films qui auscultent le monde actuel sous les formats les plus divers.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- L'invitée: Marika Dreistadt "Irina"«Irina, c’est l’histoire d’une adolescente, Irina Bialek, racontée par elle-même. Elle écrit et veut devenir romancière pour s’inventer d’autres mondes, des réalités qui recollent le passé avec le présent, les blessures avec le goût de vivre.
Mise en scène par Marika Dreistadt et Simon Guélat, avec une actrice et un acteur qui endossent les rôles de juges pour enfants, psychologues, assistant·es sociaux·ales, parents, camarades de classe. À travers son récit fragmentaire, Irina expérimente l’écriture comme outil de réparation et tente de métamorphoser son parcours de vie, son histoire, en une playlist d’amour.”
Agenda: “Irina” à voir dès ce vendredi soir 19 mai et jusqu'au 27 mai à la Comédie de Genève.
Et à l’Usine à gaz à Nyon, le jeudi 1er juin.
Marika Dreistadt est l’invitée de Thierry Sartoretti. - ACTU CULTURELLEL’actrice Jane Fonda révèle une proposition douteuse de feu le réalisateur français René Clément.
Andy Rourke, bassiste des Smiths, décède d’un cancer à 59 ans.
Genève vit au rythme du «Feu au Lac» et d’un ballet de drones. - Cannes en direct“Le Cadran de la Destinée”, 5e Opus d’”Indiana Jones”.
“Laissez-moi”, 1er long-métrage du réalisateur genevois Maxime Rappaz.
Par Philippe Congiusti. - "Prisma", la palette orchestrale colorée du tandem MarzellaDuo composé de Ella Malherbe et Marzia Celii, deux amies d’enfance, Marzella publie son troisième enregistrement en huit ans après avoir signé la bande originale du documentaire «Cascadeuses» de Elena Avdija. Dans « Prisma », le tandem creuse le sillon d’un répertoire trilingue, en français, anglais et italien au fil de morceaux entre pop, folk et rock très orchestrés et colorés.
Une chronique d’Olivier Horner.