Le film Titanic vu par Bruno Pellegrino : une fascination indélébile
Un coucher de soleil, un paquebot fendant les vagues et un couple mythique sur la proue. En 1998, Rose (Kate Winslet) et Jack (Leonardo di Caprio) intègrent la galaxie des figures immortelles du cinéma, tout comme le film de James Cameron devient culte dès les premiers jours de son existence sur la toile.
Dès sa première rencontre avec « Titanic », à l’âge de dix ans, l’auteur romand Bruno Pellegrino a ressenti que ce film ne le quitterait plus. 25 ans plus tard, il constate que « Titanic » est rentré dans son ADN, et, ajoutera-t-on, dans son écriture. Dans ses livres, comme « Tortues » ou « Dans la ville provisoire », publiés aux Editions Zoé, il arrive que l’eau monte, qu’un navire s’encastre dans la jetée alors que le narrateur s’interroge sur les souvenirs, la mémoire et les traces laissées par les objets.
Dès sa première rencontre avec « Titanic », à l’âge de dix ans, l’auteur romand Bruno Pellegrino a ressenti que ce film ne le quitterait plus. 25 ans plus tard, il constate que « Titanic » est rentré dans son ADN, et, ajoutera-t-on, dans son écriture. Dans ses livres, comme « Tortues » ou « Dans la ville provisoire », publiés aux Editions Zoé, il arrive que l’eau monte, qu’un navire s’encastre dans la jetée alors que le narrateur s’interroge sur les souvenirs, la mémoire et les traces laissées par les objets.