Un atlas des glaciers du monde pour documenter leur évolution… et leur fonte
Les glaciers ne cessent de fondre, cela on le sait. Mais à quelle vitesse? Et avec quelles conséquences? Des scientifiques des Universités de Grenoble Alpes, Toulouse et de lʹÉcole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) ont publié un atlas de quelques 220ʹ000 glaciers à travers le monde pour tenter de documenter leur fonte.
Ils se sont appuyés sur plus de 800'000 paires dʹimages prises par des satellites de la NASA* et de lʹESA**, plusieurs millions dʹheures de calculs informatiques, et un modèle numérique.
Stéphane Délétroz en parle avec Antoine Rabatel, glaciologue à lʹInstitut des géosciences de lʹenvironnement à lʹUniversité Grenoble Alpes et co-auteur de cet atlas.
*NASA: Administration nationale de l'espace et de l'aéronautique, Etats-Unis
**ESA: Agence spatiale européenne
Ils se sont appuyés sur plus de 800'000 paires dʹimages prises par des satellites de la NASA* et de lʹESA**, plusieurs millions dʹheures de calculs informatiques, et un modèle numérique.
Stéphane Délétroz en parle avec Antoine Rabatel, glaciologue à lʹInstitut des géosciences de lʹenvironnement à lʹUniversité Grenoble Alpes et co-auteur de cet atlas.
*NASA: Administration nationale de l'espace et de l'aéronautique, Etats-Unis
**ESA: Agence spatiale européenne
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreUn atlas des glaciers du monde pour documenter leur évolution… et leur fonte
Les brèves du jour
Reconstruire le climat dʹantan grâce aux pollens et micro-algues contenus dans les sédiments marins
Lighten Up! On Biology and Time: la nouvelle exposition de lʹEPFL (1/2)
Visite du plus petit jardin botanique de Suisse à Genève - Un atlas des glaciers du monde pour documenter leur évolution… et leur fonteLes glaciers ne cessent de fondre, cela on le sait. Mais à quelle vitesse? Et avec quelles conséquences? Des scientifiques des Universités de Grenoble Alpes, Toulouse et de lʹÉcole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) ont publié un atlas de quelques 220ʹ000 glaciers à travers le monde pour tenter de documenter leur fonte.
Ils se sont appuyés sur plus de 800'000 paires dʹimages prises par des satellites de la NASA* et de lʹESA**, plusieurs millions dʹheures de calculs informatiques, et un modèle numérique.
Stéphane Délétroz en parle avec Antoine Rabatel, glaciologue à lʹInstitut des géosciences de lʹenvironnement à lʹUniversité Grenoble Alpes et co-auteur de cet atlas.
*NASA: Administration nationale de l'espace et de l'aéronautique, Etats-Unis
**ESA: Agence spatiale européenne - Les brèves du jourStéphane Délétroz présente, en bref, les dernières nouvelles du monde de la science et de la santé.
Au programme: "Plus de choux ou de brocolis, moins dʹallergies cutanées", "Pour que les oiseaux viennent dans votre jardin, il faut lʹaménager de manière naturelle" et "Un possible antidote à lʹamanite phalloïde". - Reconstruire le climat dʹantan grâce aux pollens et micro-algues contenus dans les sédiments marinsLire lʹévolution de lʹagriculture au fond de la mer, cʹest une manière pour le moins originale dʹétudier lʹévolution des paysages anciens grâce aux grains de pollens et aux micro-fossiles dʹalgues marines accumulés dans les sédiments marins.
Cécile Guérin a rencontré Aurélie Penaud, palynologiste marine au Laboratoire Géo-Océan de lʹInstitut universitaire européen de la mer à Brest, pour quʹelle nous explique en quoi consiste ce travail de détective des fonds marins, et surtout, à quoi il sert. - Lighten Up! On Biology and Time: la nouvelle exposition de lʹEPFL (1/2)Quel est lʹimpact de la lumière sur les humains et plus généralement sur le monde vivant? Cʹest tout lʹenjeu de la nouvelle exposition - entre arts et science - "Lighten Up! On Biology and Time" proposée par lʹEPFL-Pavilions jusquʹà la fin du mois de juillet 2023.
Avec Marilyne Andersen, physicienne spécialisée dans lʹétude de la lumière, professeure au Laboratoire de performance intégrée au design de lʹÉcole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et co-commissaire de lʹexposition. Un sujet de Sarah Dirren. - Visite du plus petit jardin botanique de Suisse à GenèveLe plus petit jardin botanique de Suisse, le "PPJB" de son petit nom, se trouve au numéro 37 de la Rue Saint-Jean à Genève. Il fait à peu près 60 m2 et se nomme (de son vrai nom) lʹEspace Edmond Boissier. Ce projet porté par la Commission transition écologique de la Maison de quartier de Saint-Jean et du Forum 1203 a été inauguré en avril 2023. Les habitant.e.s du quartier ont toutes et tous pu participer aux plantations de différentes plantes du jardin venues dʹEspagne.
Visite de ce petit mais riche jardin, en compagnie de Camila Demoneky, spécialiste en environnement, lʹune des instigatrices du jardin. Un sujet dʹHuma Khamis.