Claude Barras 5/5 - De lʹécologie à lʹintelligence articifielle
Bien sûr, tout le monde connaît " Ma Vie de Courgette ". Ce film dʹanimation de Claude Barras fît sensation au festival de Cannes en 2016 et remporta, par la suite, un succès autant critique que public avec une nomination aux Oscar et surtout quelques César, Crystal et autres Quartz glanés à travers lʹEurope. Mais qui est Claude Barras ? Dʹoù vient-il ? Où va-t-il ? Quʹest-ce qui lʹanime ? Comment est née sa passion de lʹanimation en capture de mouvement ? Cet été, profitant dʹun répit avant la sortie en salle de son nouveau film " Sauvages ", le cinéaste a accepté de sillonner sa vie à peu près. De son enfance en Valais dans les années septante dans une famille de viticulteurs, à la reconnaissance mondiale de ses films, Claude Barras, lʹamoureux de la nature, se dévoile le temps dʹune balade dans un décorum superbe, un bisse au-dessus de Venthône en Valais.
Combien coûte un film en capture de mouvement ? Et si on lui offrait un budget illimité, Claude Barras changerait-il sa manière de réaliser ses films ? Pourrait-il se lancer un jour dans une série pour une plateforme ? Et quid de lʹintelligence artificielle ? LʹIA peut-elle devenir un allié dans la création ? Faut-il se méfier de cette technologie qui avance si vite ? Cette idée du progrès et cette accélération frénétique méritent dʹêtre interrogées. Faut-il en rire comme Quentin Dupieux le fait avec " Le Deuxième Acte " ? Dupieux, voilà un réalisateur que Claude Barras adore. Et quitte à évoquer ses chouchous, il cite volontiers " Heidi " ou " Rémi sans famille ", ce qui explique peut-être lʹorigine de son goût pour la figure de lʹorphelin dont il se plait à sʹemparer dans ses films.
Sur une proposition de Philippe Congiusti.
Combien coûte un film en capture de mouvement ? Et si on lui offrait un budget illimité, Claude Barras changerait-il sa manière de réaliser ses films ? Pourrait-il se lancer un jour dans une série pour une plateforme ? Et quid de lʹintelligence artificielle ? LʹIA peut-elle devenir un allié dans la création ? Faut-il se méfier de cette technologie qui avance si vite ? Cette idée du progrès et cette accélération frénétique méritent dʹêtre interrogées. Faut-il en rire comme Quentin Dupieux le fait avec " Le Deuxième Acte " ? Dupieux, voilà un réalisateur que Claude Barras adore. Et quitte à évoquer ses chouchous, il cite volontiers " Heidi " ou " Rémi sans famille ", ce qui explique peut-être lʹorigine de son goût pour la figure de lʹorphelin dont il se plait à sʹemparer dans ses films.
Sur une proposition de Philippe Congiusti.
Programme musical
- GrauzoneEisbärCSR RECORDS, 1999