Kill Bill part 1 & 2, Quentin Tarantino, 2003-2004
Cʹest un film de genre.
Enfin de plusieurs genres mêlés, imbriqués, intriqués.
Six en tout nous dit le réalisateur Quentin Tarantino, QT pour les intimes, qui nous propose en 2003 et 2004 deux films, Kill Bill Volume 1 et Kill Bill Volume 2.
Un dytique racontant la revanche dʹune blonde incarnée par Uma Thurman créditée comme co-scénariste.
Une mariée qui était en jaune et qui va dézinguer ses anciens copains, toutes et tous des tueurs et des tueuses à gage, redoutables, et surtout leur chef, son ancien amant, le père de lʹenfant quʹelle porte : Bill.
Car lʹorganisation, le Détachement International des Vipères Assassines, dont la mariée faisait partie, ne peut pas laisser une de ses membres prendre la tangente.
Laissée pour morte le jour de son mariage, elle sombre dans le coma et en sort 4 ans plus tard bien déterminée à éliminer tout le monde.
Véritable Revenge Movie, film de vengeance, une catégorie de films bien particulière des rape and revenge, Kill Bill se veut être un tour de force esthétique, superposant les narrations, les styles, en différents chapitres en une véritable déclaration dʹamour du réalisateur aux films qui ont baigné son enfance et son adolescence.
Kill Bill est un patchwork de références aux films de Kung Fu chinois, aux films hong-kongais dʹarts martiaux, aux chanbara japonais, les films de sabre, aux westerns spaghetti, aux mangas, aux polars, à Hitchcock, et un hommage à tous les acteurs que Quentin Tarantino a aimé à lʹécran et quʹil invite dans son film : David Carradine Sonny Chiba, et Gordon Liu en tête.
Kill Bill sort en deux volumes, lʹun en 2003, lʹautre en 2004.
La critique nʹest pas tendre, parle de compilation énervée des fixettes de cinéaste junk-food gavé depuis des lustres de tous les produits possibles et imaginables de la sous-culture planétaire.
Mais Kill Bill trouve son public et petit à petit devient iconique et sʹinscrit dans la filmographie dʹun réalisateur au style très particulier.
Cʹest parti : Il ne nous reste plus quʹà nous rendre à El Paso, Texas, dans une chapelle où la robe de la mariée va passer de blanc à rouge.
REFERENCES
Kill Bill, livret dʹaccompagnement du film, volume 1 et volume 2, 2003
The Making of Kill Bill, vol. 1
https://www.youtube.com/watch?v=Wpgqiwy1ndQ
Kill Bill Vol 1 Behind the Scene
https://www.youtube.com/watch?v=Cq9AWXsaI5Y
Kill Bill Vol.2. Making-of
https://www.youtube.com/watch?v=BxdJ3VnZyxY
Enfin de plusieurs genres mêlés, imbriqués, intriqués.
Six en tout nous dit le réalisateur Quentin Tarantino, QT pour les intimes, qui nous propose en 2003 et 2004 deux films, Kill Bill Volume 1 et Kill Bill Volume 2.
Un dytique racontant la revanche dʹune blonde incarnée par Uma Thurman créditée comme co-scénariste.
Une mariée qui était en jaune et qui va dézinguer ses anciens copains, toutes et tous des tueurs et des tueuses à gage, redoutables, et surtout leur chef, son ancien amant, le père de lʹenfant quʹelle porte : Bill.
Car lʹorganisation, le Détachement International des Vipères Assassines, dont la mariée faisait partie, ne peut pas laisser une de ses membres prendre la tangente.
Laissée pour morte le jour de son mariage, elle sombre dans le coma et en sort 4 ans plus tard bien déterminée à éliminer tout le monde.
Véritable Revenge Movie, film de vengeance, une catégorie de films bien particulière des rape and revenge, Kill Bill se veut être un tour de force esthétique, superposant les narrations, les styles, en différents chapitres en une véritable déclaration dʹamour du réalisateur aux films qui ont baigné son enfance et son adolescence.
Kill Bill est un patchwork de références aux films de Kung Fu chinois, aux films hong-kongais dʹarts martiaux, aux chanbara japonais, les films de sabre, aux westerns spaghetti, aux mangas, aux polars, à Hitchcock, et un hommage à tous les acteurs que Quentin Tarantino a aimé à lʹécran et quʹil invite dans son film : David Carradine Sonny Chiba, et Gordon Liu en tête.
Kill Bill sort en deux volumes, lʹun en 2003, lʹautre en 2004.
La critique nʹest pas tendre, parle de compilation énervée des fixettes de cinéaste junk-food gavé depuis des lustres de tous les produits possibles et imaginables de la sous-culture planétaire.
Mais Kill Bill trouve son public et petit à petit devient iconique et sʹinscrit dans la filmographie dʹun réalisateur au style très particulier.
Cʹest parti : Il ne nous reste plus quʹà nous rendre à El Paso, Texas, dans une chapelle où la robe de la mariée va passer de blanc à rouge.
REFERENCES
Kill Bill, livret dʹaccompagnement du film, volume 1 et volume 2, 2003
The Making of Kill Bill, vol. 1
https://www.youtube.com/watch?v=Wpgqiwy1ndQ
Kill Bill Vol 1 Behind the Scene
https://www.youtube.com/watch?v=Cq9AWXsaI5Y
Kill Bill Vol.2. Making-of
https://www.youtube.com/watch?v=BxdJ3VnZyxY