La chanteuse égyptienne Najet Essaghira en 1999. [AFP - FETHI BELAID]

La magie de la quinte augmentée chez Najet Essaghira

Il y a des harmonies qui ont un pouvoir particulier, celui de nous transporter en douceur dans les tensions musicales. Lʹaccord de quinte augmentée en fait partie. On en retrouve plusieurs dans "Bahlam Maak" (1980) de la chanteuse égyptienne Najet Essaghira, mais aussi chez Michel Polnareff ou chez Richard Wagner. Explications avec, en fin de chronique, une réinterprétation augmentée et déjantée de "Chihuaha". Une chronique de Pierre-Do Bourgknecht.
La magie de la quinte augmentée chez Najet Essaghira