La Suisse et le nucléaire 1/5 : Genève dans la matrice de l’atome
Après Tchernobyl, Fukushima a eu raison du nucléaire, au moins pour un temps. La guerre en Ukraine et les fractures du marché mondial de l’énergie ont transformé le regard sur les atouts de l’atome à usage civil et les débats ont repris de plus belle sur les avantages et les risques de cette source d’énergie. Dans cette nouvelle série d’Histoire Vivante en association avec Genève-Monde, on explore l’histoire du nucléaire en Suisse, de l’enthousiasme des débuts aux affres persistants du doute.
On a des images de la bombe atomique avec le champignon nucléaire d’Hiroshima et ses victimes, surprises par une force de destruction inédite en 1945. On connait un peu moins les usages très quotidiens du nucléaire civil. C’est pourtant un objet central de la coopération internationale d’après-guerre. Le nucléaire a transfiguré les rapports de force dans cette nouvelle ère.
Véronique Stenger est historienne et spécialiste de l'histoire des organisations internationales. Avec elle, on explore les usages dits « pacifiques » du nucléaire. Elle répond aux questions de David Glaser pour Histoire Vivante.
Lien : geneveMonde.ch, la première plateforme collaborative sur l'histoire de la Genève internationale https://genevemonde.ch/
On a des images de la bombe atomique avec le champignon nucléaire d’Hiroshima et ses victimes, surprises par une force de destruction inédite en 1945. On connait un peu moins les usages très quotidiens du nucléaire civil. C’est pourtant un objet central de la coopération internationale d’après-guerre. Le nucléaire a transfiguré les rapports de force dans cette nouvelle ère.
Véronique Stenger est historienne et spécialiste de l'histoire des organisations internationales. Avec elle, on explore les usages dits « pacifiques » du nucléaire. Elle répond aux questions de David Glaser pour Histoire Vivante.
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