Réintroduction du bison au Canada ; Concert au lac souterrain de St Léonard
Le long métrage : Au Canada, le retour en grâce du bison
Le court-métrage : Au lac souterrain de St-Léonard, des concerts sur une barque à la lueur des bougies
Le court-métrage : Au lac souterrain de St-Léonard, des concerts sur une barque à la lueur des bougies
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreLe long métrage : Au Canada, le retour en grâce du bison
Le court-métrage : Au lac souterrain de St-Léonard, des concerts sur une barque à la lueur des bougies - Le long métrage : Au Canada, le retour en grâce du bison860 kilos et 65 km/heure ! Cʹest le poids et la vitesse que peuvent atteindre les bisons. Et pourtant, malgré leur force et leur vélocité, les plus imposants mammifères terrestres dʹAmérique du Nord ont failli disparaître. Et avec eux, une grande partie de la culture autochtone. La raison ? la barbarie des hommes qui les ont décimés sans retenue… une centaine seulement a survécu. Cʹétait il y a plus d'un siècle et demi… Mais une initiative permit de sauver in extremis lʹespèce de lʹextinction Outre-Atlantique : la fondation aux États-Unis puis au Canada du Parc national de Yellowstone en 1872 et 1885. Et aujourdʹhui, même si lʹanimal nʹa de loin pas retrouvé son lustre dʹantan, il regagne petit à petit les plaines où vécurent ses ancêtres grâce à différents plans de réintroduction. Faut-il pour autant sʹen réjouir ? Que dit de nous le rapport que nous entretenons aujourdʹhui à cet animal légendaire ?
Reportage : Justine Leblond
Réalisation : David Golan - Le court métrage : Au lac souterrain de St-Léonard, des concerts sur une barqueCertains samedis soir à St-Léonard en Valais, le plus grand lac souterrain naturel dʹEurope se transforme en salle de concert… Toutefois, même sʹil est étendu, on nʹy croisera ni bateaux à moteur ni groupes électrogènes pour amplifier les instruments : les artistes doivent donc accepter de jouer, à la lueur dʹun chandelier, en acoustique, et en équilibre instable, sur une barque. De leur côté, les spectatrices et les spectateurs doivent être dʹaccord de les écouter en étant assis de manière tout aussi précaire sur dʹautres barques situées à quelques mètres… Et malgré ces conditions particulières, le lieu ne désemplit pas… Ce ne sont dʹailleurs pas les musiciens du groupe strasbourgeois Dirty Deep qui sʹen plaindront, même sʹils ont lʹhabitude de jouer avec du gros son… Mais au-delà de la performance et de lʹoriginalité, faut-il vraiment se réjouir de cette organisation dʹévénements dans des lieux naturels toujours plus insolites ?
Reportage : Christophe Canut
Réalisation : Jérôme Nussbaum