Une IA pour aider à diminuer le nombre de morts après une morsure de serpent
Chaque année, près de 120'000 personnes meurent des suites dʹune morsure de serpent venimeux. LʹOrganisation mondiale de la santé (OMS) a pour objectif de réduire de moitié ce chiffre dʹici à 2030. Et cʹest peut-être à lʹaide dʹune application qui identifie les serpents du monde entier et leur anti-venin que cet objectif pourrait être atteint.
Pour lʹinstant, plus dʹun demi-million de photographies de serpents ont été intégrées dans lʹalgorithme dʹintelligence artificielle de cette appli développée par les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève (UNIGE) et Médecins sans Frontières (MSF). Les équipes du projet continuent leur effort collectif pour combler le manque de données sur l'écologie des serpents et donner aux prestataires de soins de santé des connaissances actualisées et l'accès à de meilleurs outils de diagnostic.
Avec Isabelle Bolon, chercheuse et vétérinaire à lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève, et Gabriel Alcoba, médecin référent maladies tropicales négligées à MSF, médecin au Service de médecine tropicale et humanitaire aux HUG et co-investigateur à lʹUNIGE. Un sujet de Sarah Dirren.
Pour lʹinstant, plus dʹun demi-million de photographies de serpents ont été intégrées dans lʹalgorithme dʹintelligence artificielle de cette appli développée par les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève (UNIGE) et Médecins sans Frontières (MSF). Les équipes du projet continuent leur effort collectif pour combler le manque de données sur l'écologie des serpents et donner aux prestataires de soins de santé des connaissances actualisées et l'accès à de meilleurs outils de diagnostic.
Avec Isabelle Bolon, chercheuse et vétérinaire à lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève, et Gabriel Alcoba, médecin référent maladies tropicales négligées à MSF, médecin au Service de médecine tropicale et humanitaire aux HUG et co-investigateur à lʹUNIGE. Un sujet de Sarah Dirren.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAux Etats-Unis, un rein de porc a été transplanté pour la première fois chez un patient vivant
Les brèves du jour
Une IA pour aider à diminuer le nombre de morts après une morsure de serpent
Mythes et légendes en paléontologie - Aux Etats-Unis, un rein de porc a été transplanté pour la première fois chez un patient vivantLe 16 mars 2024, une équipe de médecins de lʹHôpital du Massachussetts General Hospital (MGH) à Boston aux Etats-Unis ont greffé un rein de cochon génétiquement modifié chez un patient vivant. Une première, dans toute lʹhistoire de la médecine moderne, qui représente, selon le MGH, un nouveau pas vers une potentielle solution à la pénurie chronique de dons dʹorganes.
Stéphane Délétroz en parle avec Christian Toso, médecin-chef au Service de chirurgie viscérale des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). - Les brèves du jourStéphane Délétroz présente, en bref, les dernières nouvelles du monde de la science et de la santé.
Au programme: "Il y a 50 ans, des paysans chinois découvraient les premiers vestiges de lʹArmée de terre cuite de Qin Shi Huang", "Lʹ Anthropocène nʹest pas une unité formelle de l'échelle des temps géologiques" et "Les chiens peuvent comprendre les mots que nous employons". - Une IA pour aider à diminuer le nombre de morts après une morsure de serpentChaque année, près de 120'000 personnes meurent des suites dʹune morsure de serpent venimeux. LʹOrganisation mondiale de la santé (OMS) a pour objectif de réduire de moitié ce chiffre dʹici à 2030. Et cʹest peut-être à lʹaide dʹune application qui identifie les serpents du monde entier et leur anti-venin que cet objectif pourrait être atteint.
Pour lʹinstant, plus dʹun demi-million de photographies de serpents ont été intégrées dans lʹalgorithme dʹintelligence artificielle de cette appli développée par les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève (UNIGE) et Médecins sans Frontières (MSF). Les équipes du projet continuent leur effort collectif pour combler le manque de données sur l'écologie des serpents et donner aux prestataires de soins de santé des connaissances actualisées et l'accès à de meilleurs outils de diagnostic.
Avec Isabelle Bolon, chercheuse et vétérinaire à lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève, et Gabriel Alcoba, médecin référent maladies tropicales négligées à MSF, médecin au Service de médecine tropicale et humanitaire aux HUG et co-investigateur à lʹUNIGE. Un sujet de Sarah Dirren. - Mythes et légendes en paléontologieLucia Sillig fait le tour des histoires plutôt fantastiques que les humains ont pu se raconter, et quʹon se raconte peut-être encore, sur les fossiles retrouvés ici et là depuis la nuit des temps. Son guide à travers ces mythes et légendes: Thierry Malvesy, conservateur en Sciences de la Terre au Muséum dʹhistoire naturelle de Neuchâtel.